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Mis à jour: 11 juin 2025
La mort de M. Poe causa en Amérique une réelle émotion De différentes parties de l'Union s'élevèrent de véritables témoignages de douleur. La mort fait quelquefois pardonner bien des choses. Nous sommes heureux de mentionner une lettre de M Longfellow qui lui fait d'autant plus d'honneur qu'Edgar Poe l'avait fort maltraité. «Quelle mélancolique fin, que celle de M. Poe, un homme si richement doué de génie! Je ne l'ai jamais connu personnellement, mais j'ai toujours eu une haute estime pour sa puissance de prosateur et de poëte. Sa prose est remarquablement vigoureuse, directe, et néanmoins abondante, et son vers exhale un charme particulier de mélodie, une atmosphère de vraie poésie qui est tout
Je ne saurais mieux commencer la série des quelques poèmes sur lesquels je veux appeler l'attention, qu'en citant le Poème de l'Epave de M. Longfellow .
Les femmes!... des squaws, voulez-vous dire! Leur portrait est exactement le même. Cependant nous sommes dans «la région des Dacotahs, le pays des Beauté», dont parle le poète Longfellow dans son ouvrage intitulé Hiawatha.
Quelle a donc été lamentable la destinée de ce pauvre petit peuple Acadien! et par quel prodige subsiste-t-il encore, disséminé, il est vrai, mais toujours reconnaissable, toujours le même que le bon peuple chanté par Longfellow. Aujourd'hui les barrières qui nous séparaient de ce peuple sont tombées. Nous n'avons plus qu'une même patrie, le Canada. La Providence qui fait surgir les nations et qui les fait entrer dans le néant, a sans doute les yeux ouverts sur nous. Elle ne nous a pas dirigés pendant trois siècles
Il y a trois mondes, et tous peuplés de divinités. Quant au poème lui-même, il est en vers trochaïques de huit syllabes, avec allitération et écho dans le cours du vers. C'est le mètre dans lequel Longfellow a écrit Hiawatha. L'un de ses traits caractéristiques est une admirable passion pour la nature, et pour la beauté des objets de la nature.
votre obéissant serviteur, Henry W. Longfellow.
En des vers d'une majestueuse ampleur, le poète américain Longfellow a chanté les malheurs des Acadiens.
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