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Mis à jour: 26 mai 2025
Lockhart ne nomme pas le «fragment morlaque d'après Goethe» parmi les morceaux qui furent insérés dans cette Apology, comme le veulent M. Brandl et Miklosich.
Lockhart, qui fut avec persistance un tory étroit, condamne lourdement cet acte de Burns, bien qu'il soit forcé de reconnaître que l'Angleterre n'était pas alors en guerre avec la France, «mais, dit-il, chacun sentait qu'elle ne tarderait pas
La brochure était intitulée Apology for Tales of Terror comme le dit expressément Lockhart .
Au sujet de cette pièce, si remarquable dans l'oeuvre de Burns, les critiques diffèrent. Les uns la considèrent comme son chef-d'oeuvre. C'est l'avis de Lockhart et de beaucoup d'autres . Carlyle, au contraire, s'étonne de la haute faveur dont elle jouit: «C'est moins un poème, dit-il, qu'un morceau d'étincelante rhétorique, le coeur et le corps de l'histoire reste dur et mort.» Il reproche au poète de n'être pas remonté, de ne pas nous avoir emportés dans cet âge sombre, sérieux, étonné, où on croyait
[Note 303: Voir dans Scott Douglas, vol. IV, p. 120-130, et dans son édition de Lockhart, p. 336-339, la suite de faits et de raisonnements par lesquels il a établi irréfutablement ce fait. Cette vague aventure flottait quelque part dans la jeunesse de Burns. Il l'a saisie et fixée
Ainsi, de toutes parts, de ces cent ruelles et allées pendues aux flancs de la Grande-Rue, avec les noms historiques des Dundas, des Beaton, des Kennedy, des Grant, des Lockhart, des Lovat, des Leven, de tant d'autres, la mémoire des temps passés sort des pierres: les luttes religieuses, les rivalités seigneuriales, les querelles et les vengeances des familles, les coups de force, les meurtres, les enlèvements, les séditions, les passages d'armées, depuis les ans où les
Comme on le voit, Lockhart nous dit ici deux choses: 1° Walter Scott a lu, en 1799,
The Life of Robert Burns, by J. C. LOCKHART, enlarged edition, revised and corrected from the latest text of the Author, with new annotations and appendices, by William Scott Douglas. London, George Bell and Sons, 1882. C'est la célèbre biographie de Lockhart, revue par le dernier des éditeurs de Burns.
Cet exposé de l'esprit et de l'organisation de la religion presbytérienne et de la situation des deux partis, est peut-être un peu long, mais il nous a paru nécessaire. «Le lecteur anglais, dit Lockhart, qui ignore tous ces détails, ne sera certainement jamais capable de saisir les mérites ou les démérites de maintes des plus remarquables productions de Burns .» Il nous a paru que le lecteur français avait encore plus besoin de ces renseignements que le lecteur anglais. Sans eux, il serait presque impossible de rien comprendre
Lockhart remarque qu'il n'était pas dans le caractère de Burns de laisser ainsi échapper ses sentiments sur certains sujets. Aussitôt après avoir cité ces vers, il reprit un air de gaîté et, emmenant chez lui son jeune ami, il le garda jusqu'
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