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Les voyageurs s'établirent chacun devant un bureau et comme ils ne doivent pas avoir de secrets pour nous, lisons sans façon par dessus leur épaule ce qu'ils sont en train d'écrire: Polyphème

Lorsque nous lisons dans les histoires les exemples de la justice atroce des sultans, nous sentons avec une espèce de douleur les maux de la nature humaine.

Nous y lisons ce qui suit: «De jour en jour plus nombreuses, les femelles inspectent les lieux; elles bourdonnent devant les galeries de verre et les demeures de roseau; elles y pénètrent, y séjournent, en sortent, y rentrent, puis s'envolent, d'un essor brusque, dans le jardin. Elles reviennent, maintenant l'une, maintenant l'autre.

Trois siècles et demi ont passé depuis la mort de cette reine adorable, les regrets qu'elle causa ont conservé leur vivacité, et nous en lisons encore l'expression dans un écrit récemment publié, dont nous transcrivons le passage suivant: «Le testament de cette admirable femme témoigne de la modeste humilité de son coeur, dans lequel les affections de l'amour conjugal étaient délicatement confondues avec la religion la plus fervente, avec la plus tendre mélancolie. Elle fut un des esprits les plus purs qui aient jamais donné des lois

Eh bien! sur quoi discutons-nous? nous sommes du même avis. Qu'est-ce que l'histoire de Ky-Tcheou? demanda Germaine. Vous n'avez pas lu cela, madame? Nous ne lisons pas un journal, mon cher comte, excepté vous. Eh bien! Ky-Tcheou est une grosse affaire.

À côté de ces écrivains au tempérament bouillant, dont le coloris brutal éblouit souvent, la Belgique possède des romanciers ou conteurs, d'origine wallonne pour la plupart, d'un caractère autrement paisible, qui peignent avec des tonalités moins sanguines les paysages plus aimables, les mœurs plus douces de leur contrée. Les descriptions n'ont ni l'envergure, ni l'héroïsme de celles des auteurs flamands. N'étant point, comme un Lemonnier ou un Demolder, obligés de s'expatrier pour chercher la culture française, puisque en leurs veines circule du sang latin, les Wallons volontiers se calfeutrent dans leur petite province, regardent autour d'eux, pas très loin, puis nous offrent des décors discrets, nous confient des vies, navrantes parfois, mais rarement fanatiques, avec un souci persistant de notations précises ou de subtilités psychologiques moins en honneur sur les bords de l'Escaut que sur les rives de la Meuse. Il leur arrive de voir trop menu. Au matérialisme épais et au mysticisme se substituent la grâce et l'émotion. Surtout les auteurs wallons dispensent par leurs écrits, beaucoup plus largement que leurs confrères flamands, une bonhomie fort touchante. Aussitôt nous devenons amis avec eux; même nous oublions un peu que nous lisons un livre

Oh! moi, je trouve cela inintelligible, ou plutôt insupportable, il n'y a pas de mélodie.... Au reste, tenez, voici plusieurs journaux qui en parlent, lisons: La symphonie avec chœurs de Beethoven représente le point culminant de la musique moderne; l'art n'a rien produit encore qu'on puisse lui comparer pour la noblesse du style, la grandeur du plan et le fini des détails.

Tout nous blesse, tout nous taquine les nerfs: ce que nous voyons, ce que nous lisons, ce que nous entendons. Il y a eu le monde des sots au moyen âge, il nous semble vivre dans le monde des gogos et des abonnés... Il nous faudrait, pour nous distraire, je ne sais quel grand sens dessus dessous... que le monde dansât quelques jours sur la tête...

La maîtresse du logis avait, comme son mari, juste l'embonpoint de la quiétude et de la félicité intérieure; elle était évidemment douée de toutes les qualités, et de l'amabilité, et du bon sens qui peuvent créer sous la calotte des cieux ce paradis domestique auquel tous nous aspirons, et dont nous lisons avec amour les nouvelles, mais que si rarement nous trouvons ici-bas.

Lisons donc ces chants inspirés; ils ont passé par des bouches humaines, et, sous ce point de vue au moins, ils ressortent du jugement humain. Les livres sacrés ou divinement inspirés tiennent une place immense dans la géographie littéraire du globe, et surtout du globe antique.