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Mis à jour: 9 juillet 2025


Quand il y aura plusieurs femmes, la plus âgée fera alliance avec celle qui la suit immédiatement en âge et en rang et tâchera de brouiller avec la favorite actuelle la femme que la favorite a remplacée auprès du maître; puis, ayant ligué toutes les femmes contre la favorite, elle prendra alors le parti de celle délaissée et, sans se compromettre d'aucune façon, elle fera dénoncer la favorite comme méchante et querelleuse.

Il serait permis de se demander d'abord si les législateurs de la confédération suisse ont voulu faire une constitution fédérale ou seulement établir une ligue, en d'autres termes, s'ils ont entendu sacrifier une portion de la souveraineté des cantons ou n'en aliéner aucune partie. Si l'on considère que les cantons se sont interdit plusieurs des droits qui sont inhérents

Si elle n'eût été générale, se serait-elle établie? S'il eût été possible de s'y soustraire, sans en être l'instrument, de n'en pas être victime n'en étant pas agent, n'aurait-on pas vu une ligue puissante se former contre elle?

On admira la sagesse et la vigilance d'Idoménée, qui avait fondé un si beau royaume; et chacun concluait que, la paix étant faite avec lui, les alliés seraient bien puissants s'il entrait dans leur ligue contre les Dauniens. On proposa

Une vaste ligue s'était formée contre le comte de Toulouse, objet de la jalousie universelle. Le puissant comte de Barcelone, régent d'Aragon, les comtes de Narbonne, de Montpellier, de Béziers, de Carcassonne, étaient d'accord avec le roi d'Angleterre. Celui-ci semblait près de conquérir ce que Louis VIII et saint Louis recueillirent sans peine après la croisade des Albigeois. Il fallait donner l'assaut sur-le-champ

Le troisième possesseur d'un trône acquis par ce grand crime politique, Frédéric III, se voyait attaqué en Sicile par le parti de la France et du pape, et par son propre frère Jacques II, roi d'Arragon, qui feignit d'entrer dans cette ligue par crainte du terrible pontife Boniface VIII. Son courage ne l'abandonna point, et le tour d'esprit poétique, héréditaire dans sa famille, lui dicta un sirvente il parle en homme de cœur et en roi. «Je ne dois pas, dit-il, me mettre en peine de la guerre, et j'aurais tort de me plaindre de mes amis. Je vois une foule de guerriers venir

«L'association des princes, seigneurs et gentilshommes catholiques doit être faite et est faite pour rétablir la loi de Dieu en son entier, remettre et retenir le saint service d'icelui selon la forme et la manière de la sainte Eglise catholique, apostolique et romaine, abjurant et renonçant toutes erreurs au contraireC'était la formule de la ligue dont Guise était le chef suprême.

Les autres membres de la ligue ou coalition contre la France sont dans un cas semblable au sien. La Russie et la Prusse n'attendent que de l'opposition de notre part. L'Autriche peut désirer notre appui dans les questions de la Pologne et de la Saxe ; mais son ministre le désire bien moins pour ces deux objets qu'il ne redoute notre intervention pour d'autres. Il sait combien nous avons l'affaire de Naples

Soixante-quinze mille livres d'une part, cent mille de l'autre. Chicot se retourna vers le roi. Si tu veux, pour mille écus, je te dis le secret de M. de Morvilliers, s'écria le Gascon. Celui-ci fit un geste de surprise; le duc d'Anjou fit meilleur visage qu'on n'eût pu s'y attendre. Dis, répliqua le roi. C'est la Ligue pure et simple, fit Chicot, la Ligue commencée depuis dix ans.

Le chef de la Ligue entra donc, accompagné seulement de quelques bourgeois que conduisait Maineville. A l'aspect de cette si faible troupe, le roi respira. Guise traversa la salle dans toute sa longueur. Il était calme et grave. Parvenu devant le trône, il s'inclina profondément.

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