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Mon enlèvement. Mes libérateurs. Une famille d'émigrés français. Je rejoins mon mari. Départ pour Bruxelles.

«Cucumetto était un Satan fort habile: il avait pris la forme d'un bandit au lieu de celle d'un serpent; il surprit ce regard, reconnut dans Teresa une digne fille d'Ève, et rentra dans la forêt en se retournant plusieurs fois sous prétexte de saluer ses libérateurs. «Plusieurs jours s'écoulèrent sans que l'on revit Cucumetto, sans qu'on entendit reparler de lui. «Le temps du carnaval approchait.

Mais, au point important si cette tentative réussit, et que Venise, plus heureuse, conduise dans la suite sur nos tombes respectées ses générations affranchies; si ses enfans, de leurs petites mains, viennent jeter des fleurs sur la cendre de ses libérateurs, sans doute alors les effets auront sanctifié notre cause, et nous serons inscrits tels que les deux Brutus dans les annales de l'avenir!

À la vue de nos troupes, la Pologne s'insurge. Les Français sont accueillis en libérateurs; Posen, Varsovie leur dressent des arcs de triomphe. La noblesse sort de ses châteaux, elle porte, depuis onze ans, le deuil de la patrie, et s'offre

À peine la frontière franchie, Calonne est obligé de confesser aux alliés que ses moyens sont épuisés, que les princes ne peuvent plus payer leurs soldats. Heureusement, ajoute-t-il, on est maintenant en pays français. Les populations vont se soulever contre la Révolution, acclamer leurs libérateurs, apporter des trésors aux frères du roi captif.

Les soldats qui gardaient la montagne étaient plus découragés que jamais; ayant peu l'idée des grands événements qui se préparaient, ils voyaient venir avec consternation la perspective de mourir de faim sur leur rocher si l'empereur s'éloignait. De temps en temps, nous recevions de petits billets de M. Munzinger, qui nous arrivaient cousus dans les pantalons usés de quelque paysan; ainsi, nous savions que nos libérateurs approchaient, et nous attendions le jour peu éloigné notre sort se déciderait. Nous souffrions beaucoup plus de cette incertitude constante sur ce qui pouvait nous arriver

L'Europe verra, avant un second règne, comment ses libérateurs auront profité de la leçon. Catherine II n'avait pas dans ses

Quant aux Polonais de la rive droite, aux habitants de la Lithuanie, ils nous attendaient sans doute comme des libérateurs. On les verrait se lever

La République française aurait pu, en 1792, profiter des sentiments de ce pays pour le délivrer du joug autrichien. Les grandes villes, Bruxelles, Gand, Anvers, faisaient des vœux pour nous. Elles nous appelaient, non comme des maîtres, mais comme des libérateurs. Elles nous demandaient la délivrance, suivie d'une étroite alliance.

Ce changement de dispositions envers les Français venait de ce que le peuple croyait n'en avoir plus besoin. Il s'était délivré par ses propres efforts de l'oppression du prince de la Paix, et il était plein de confiance dans le nouveau roi; ainsi, ne regardant plus les Français comme des libérateurs, il les trouvait des hôtes fort chers et fort incommodes.