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Je m'étais arrêté près de la grande écoutille, cinq ou six matelots entouraient une pile de caisses et de futailles qu'ils descendaient dans la cale au moyen d'un palan. Ils étaient en manches de chemises, portaient des blouses de Guernesey et de larges pantalons de toile, tout barbouillés de graisse et de goudron.

Mais le plus souvent on les voit passer dans le quartier ou s'attabler dans les cafés, habillés de pantalons

Trois hommes, en effet, débouchaient dans le faubourg se dirigeant vers la ville. Ces trois hommes portaient le costume complet des patriotes de l'époque: carmagnole bleue de tyran, pantalons courts, ceinture rouge, sabots garnis de paille, bonnet de la liberté enfoncé sur la tête et descendant jusqu'aux yeux. Ils marchaient au pas de leurs chevaux côtoyant les rives de l'Erdre.

Pierrot avait bien entendu l'aparté, mais il n'en fit pas semblant. «Il n'y a pire sourd, dit le proverbe, que celui qui ne veut pas entendreSes yeux étaient éblouis des splendeurs de l'uniforme, des épaulettes d'or, des pantalons rouges, des tuniques bleues, des croix qui brillent sur les poitrines des officiers supérieurs. Le sabre qui pend

Je l'ai plutôt mince, répondais-je avec complaisance, tout près de piaffer. Et Nane répétait docilement: C'est vrai, plutôt mince. Ou bien: Comment faites-vous pour avoir des pantalons si droits? Je les fais repasser, Nane. Mais aujourd'hui: C'est extraordinaire ce que vous savez peu parler aux subalternes. Vous leur dites tout le temps: «Ayez la bonté de ceci, de cela.

Les pelouses du parc de Saint-Cloud disparaissent sous les pantalons rouges de la ligne qui s'exerce, et l'on peut se croire au milieu de la guerre,

On portait des pantalons de toutes les couleurs, des baudriers crasseux, de vieux habits d

D'autres, tout pénétrés de pluie, croisent contre leur poitrine un maigre paletot, un morceau de pain fait une bosse. C'est du monde de tous les mondes, des blousiers aux dures figures, des artisans en vareuses, des bourgeois aux chapeaux socialistes, des gardes nationaux qui n'ont pas eu le temps de quitter leurs pantalons, deux lignards

Ces quelques bouquets de saules, clairsemés dans les plaines, abritent presque tous, sous leur ombre très légère, des villages de cultivateurs: maisonnettes en terre et en briques grises; vieilles petites pagodes cornues, qui s'effritent au soleil. Avertis par des veilleurs, les hommes et les enfants, quand nous passons, sortent tous pour nous regarder en silence, avec des curiosités naïves: torses nus, très jaunes, très maigres et très musclés; pantalons en toujours pareille cotonnade bleu foncé. Par politesse, chacun déroule et laisse pendre sur son dos sa longue natte; la garder relevée en couronne serait une inconvenance

Tout d'un coup, le coeur me bat: il me semble, entre les roues des derniers caissons, avoir aperçu des pantalons rouges. Oui, ce sont bien des pantalons rouges. Entre deux haies de Prussiens, la baïonnette au canon, marchent des soldats français prisonniers, sans armes, sales, déguenillés, l'air abattu, désespéré. Ils sont deux cents, au moins... et je regarde, tant que je puis les voir, les képis rouges de ces malheureux qui vont aller pourrir dans une forteresse allemande... Les voitures passent toujours, escortées par des uhlans. Il y a des prolonges pleines d'armes, de chassepots et, tout