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Mis à jour: 27 juin 2025


Le seigneur de Liancourt se tournant vers les deux amis alternativement: Oui, messieurs, vous pourriez d'abord me laisser accomplir paisiblement la tâche que je m'étais imposée. De surveiller votre future femme? dit Pontis. Faites, monsieur, faites, et prenez-la en faute, monsieur, je vous le souhaite de tout mon coeur. Nicolas d'Armeval salua gracieusement.

Ne me dites donc pas de ces choses-la, marquise; ce tendre père était un féroce gardien qui vous eût fait damner. Rappelez-vous Bougival et le bossu Liancourt. Allons, allons, si vous regrettez ce père-l

Les anciens constitutionnels, effrayés des doctrines révolutionnaires et des dangers que couraient le Roi et sa famille, s'occupèrent sérieusement des moyens de le faire sortir de Paris, pour qu'il pût s'établir dans une ville sûre et y réformer les principaux abus de la Constitution. M. de Liancourt répondit de la fidélité de son régiment, qui était en garnison

Au commencement de l'été de 1795, nous eûmes la visite du duc de Liancourt. Il en a parlé fort obligeamment dans son Voyage en Amérique. Il arrivait des nouveaux établissements formés depuis la guerre de l'Indépendance sur les bords de la Mohawk et dans le territoire cédé par la nation des Onéidas. M. de Talleyrand lui avait remis des lettres pour les Schuyler et les Renslaër. Après un séjour d'une journée chez nous, je lui proposai de le ramener

Liancourt étoit un bourg du Beauvoisis. «Ce bel édifice, dit-il, est accompagné de jardins du meilleur goût et l'on voit de belles cascades, etc., etc.

Le 6, le 7 et le 8. Le duc de Liancourt ayant l'intention de prendre une ferme pour la cultiver selon les principes anglais, il me pria de l'accompagner, ainsi que mon ami Lazowski,

Madame de Motteville, parlant de la mort du comte de La Roche-Guyon devant Mardick, dit: «Il étoit fils du duc de Liancourt, seul héritier de ses grands biens et de son oncle maternel, le maréchal de Schomberg. Il avoit épousé l'héritière de la maison de Lanoye, qui demeura grosse d'une fille, dont elle accoucha quelque temps après la mort de son mari.

Cependant la présence d'un «bonhomme» de père ne laissait pas que d'être fort gênante pour des relations si publiques; il y avait aussi un frère, le marquis de Coeuvres, esprit fin et délié, un des plus habiles intrigants de la cour, qui semblait vouloir surveiller la conduite de sa soeur. Le roi ne trouva d'autre expédient que de marier sa maîtresse. On trouva tout exprès pour l'émanciper un bon gentilhomme de Picardie, Nicolas d'Armeval, seigneur de Liancourt. Ce gentilhomme tergiversa bien tout d'abord, «le mariage lui semblait dur

«A Liancourt, 26 avril 1671. «Ne croiés pas que mon amitié diminue, vos services continuant, cela ne se peut; mais il me les faut rendre comme je le désire, et croire que je fais tout pour le mieux. La préférence que vous craignés que je donne aux autres ne vous doit faire aucune peine. Je veux seulement ne pas faire d'injustice et travailler au bien de mon service.

Très-bien! très-bien! dit le petit homme, vaincu par l'attitude calme et inoffensive que venait de prendre Espérance. Oh! plus tard comme plus tard, je réponds de la seconde madame de Liancourt comme de la première. Et puisque M. Espérance n'a que de bonnes intentions pour moi, rien ne m'arrête plus pour lui dire en ami: Venez ce soir souper avec nous

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detto

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