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Mis à jour: 17 juin 2025
Encore un événement, c'est le jour! s'écria Denis. Pauvre M. de Coeuvres!... Oh! oui, ne disons rien au père. Maintenant, passe vite Mlle d'Estrées pour que son père ne s'impatiente pas. A l'instant, dit le meunier, qui se jeta dans le batelet où déj
Le héros de son temps éprouva un vif chagrin de ce refus, et quoique Mantes, dont il s'était fait comme une petite capitale pendant qu'il tenait la campagne aux alentours de Paris, fût distant de sept lieues du château de Coeuvres, et que la forêt
Le marquis de Coeuvres fut fiancé en 1647 (Mottev., t. 2, p. 216) avec mademoiselle de Thémines, fille de la seconde femme de son père. Il fit partie de l'assemblée de la noblesse en 1649 (Mottev., t. 3, p. 272), réunie pour combattre les prétentions de La Rochefoucauld et de quelques autres. Il se battit en duel avec Plessis-Chivray, frère de la maréchale de Grammont. Ce fut «un des plus beaux combats de la Régence» (Tallem., t. 4, p. 435); il n'y eut pas de raillerie. En 1650 il est
La première entrevue du roi et de Gabrielle eut lieu au château de Coeuvres en Picardie. Bellegarde ne tarda pas
On ne trouve pas ce titre de Marigni dans ceux de ses prédécesseurs. Antoine-Hercule de Budos, marquis de Portes. Antoine Coiffier, dit Ruzé, marquis d'Effiat, petit-fils de Gilbert Coiffier, seigneur d'Effiat, etc., trésorier en 1538. François-Annibal d'Estrées, marquis de Coeuvres, petit-fils de Jean d'Estrées, seigneur de Coeuvres, etc. Mort en 1567.
M. de Sully dit en un endroit que le Roi monta dans son carrosse; il n'en avoit point, quoiqu'il fût surintendant des finances. Il alloit au Louvre en housse, et n'eut un carrosse que quand il fut grand maître de l'artillerie. Le Roi ne vouloit pas qu'on en eût. Le marquis de Coeuvres et le marquis de Rambouillet furent les premiers des jeunes gens qui en eurent, le dernier
Il eut en premières noces 1º le marquis de Coeuvres, 2º le comte d'Estrées, 3º l'évêque de Laon, et en secondes noces le marquis d'Estrées. Il étoit fils d'Antoine d'Estrées, premier baron du Boulonnois, et neveu de la «charmante» Gabrielle. Il avoit épousé la fille de Montmor, trésorier de l'épargne, veuve du maréchal de Thémines. La satire 3 de Régnier lui est dédiée.
On a dit que c'étoit de son consentement que le marquis de Coeuvres la devoit enlever de Bruxelles, et le petit Toiras, depuis maréchal de France, page de M. le Prince, étoit espion pour le Roi. Le marquis écrivoit: «Le petit Toiras sert toujours bien Votre Majesté, je lui ai payé sa pension.»
Cependant la présence d'un «bonhomme» de père ne laissait pas que d'être fort gênante pour des relations si publiques; il y avait aussi un frère, le marquis de Coeuvres, esprit fin et délié, un des plus habiles intrigants de la cour, qui semblait vouloir surveiller la conduite de sa soeur. Le roi ne trouva d'autre expédient que de marier sa maîtresse. On trouva tout exprès pour l'émanciper un bon gentilhomme de Picardie, Nicolas d'Armeval, seigneur de Liancourt. Ce gentilhomme tergiversa bien tout d'abord, «le mariage lui semblait dur
En effet, des pas lourds et cadencés retentissaient sur la planche du moulin. Le roi se leva pour prendre un avis dans les yeux de Gabrielle. Appelez-vous M. Guillaume, dit-elle vivement, vous m'apportez des nouvelles de mon frère, le marquis de Coeuvres. Fort bien. Denis entra.
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