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Mis à jour: 29 juin 2025
Vous me rappelez mon vicaire Oglypiglap, reprit Spiagudry rassuré par cette idée; c'est lui sans doute qui dort bruyamment. Un lapon qui dort, selon l'évêque Arngrim, fait autant de bruit qu'une femme qui veille. En parlant ainsi, ils s'étaient rapprochés de la porte du Spladgest. Spiagudry l'ouvrit doucement.
De ce qu'il n'y a pas de genre il résulte que les adjectifs sont invariables. C'est ce qui a lieu en lapon et en turc, aussi bien qu'en hongrois. L'auteur met en regard des exemples de déclinaisons hongroises, finnoises et laponnes. Lapon. Hongrois. N. kabmak soulier makk gland de chêne G. kabmak en makk é D. kabmak i makk nak A. kabmak eb makk ot V. kabmak makk A. kabmak est makk ostól Finnois.
De telle façon qu'un nom, ainsi que le remarquait autrefois Gyarmathi, peut subir deux cent quarante-quatre variations. En lapon les postpositions ne se joignent qu'au pronom: elles restent séparées du substantif, lequel ne peut prendre les nombreuses formes des substantifs hongrois et turcs. C'est encore l
Les Juifs étaient fort au courant de la période de nos années, qu'on prétend avoir été découverte par nous ne savons plus quel moine scythe ou lapon en l'an 500 de notre ère: il suffit de jeter les yeux sur leurs livres pour le voir. Il y a trois mille ans, les Chinois remarquaient la mobilité de l'écliptique en observant l'aiguille d'un cadran solaire, et l'invention de ce cadran se perd dans la nuit de l'histoire. Il y a deux mille deux cents ans, les Babyloniens en découvraient encore d'ingénieuses variétés. La découverte des précessions équinoxiales date de deux mille trois cents ans; sans le prétendu hasard qui nous a fait «découvrir» l'optique, il y a cinq siècles (laquelle remonte
Mais comment l'auteur ne voit-il pas que cette observation n'a pas de sens, puisqu'il traduit ses exemples en latin au moyen de répétitions semblables? Nous passons aux comparatifs. Quatre lignes de texte pour faire observer qu'ils se forment de même dans les deux langues, et une page d'exemples. Lapon. Hongrois.
Cependant, comme j'use beaucoup, on m'a acheté, dans la campagne, une étoffe jaune et velue, dont je suis enveloppé. Je joue l'ambassadeur lapon. Les étrangers me saluent; les savants me regardent. Mais l'étoffe dans laquelle on a taillé mon pantalon se sèche et se racornit, m'écorche et m'ensanglante. Hélas! Je vais non plus vivre, mais me traîner.
Vêtu d'un pantalon démesuré, d'une veste, d'un foulard et d'une toque de fourrure, le pêcheur de Volendam a une allure personnelle qu'on ne saurait décrire. Il tient du Russe, du Lapon et du Mongol, et se montre hollandais par les mille détails de ses attitudes, de ses gestes, de ses paroles.
Nous arrivons aux déclinaisons. Ici Gyarmathi remarque que le hongrois et le lapon n'ont qu'un seul genre: c'est une similitude. Mais il faut se rappeler que les langues finnoises sont asiatiques et possèdent quelques uns des caractères des langues orientales. Il n'y a pas de genre en hongrois: il n'y en a pas non plus en turc.
Viennent ensuite les pronoms possessifs. Ici Gyarmathi signale une autre similitude. En lapon et en hongrois, il n'y a pas proprement de pronoms. On exprime le possessif au moyen de lettres placées
Autour de la capote où la tête de l'enfant est parfaitement garantie, chaudement, doucement abritée, sont suspendus des colliers de perles de couleur, et de petites chaînettes en cuivre ou argent qui sonnent sans cesse et dont le cliquetis fait rire le petit Lapon.»
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