United States or Mauritius ? Vote for the TOP Country of the Week !


Pourquoi lui laissez-vous voir que vous le craignez? Pourquoi lui faites-vous connoître 30 que vous vous servez du pouvoir que sa passion vous donne sur lui? Oseriez-vous refuser de le voir, si vous ne saviez bien qu'il distingue vos rigueurs de l'incivilité? Mais pourquoi faut-il que vous ayez des rigueurs pour lui?

Eh bien! oui, vous avez persévéré dans cette idée fixe que je restasse en possession du collier, et vous ne l'aurez pas rendu aux joailliers pour me le faire reprendre dans une occasion quelconque. Madame de La Motte a été faible, elle qui savait mes répugnances, l'impossibilité j'étais de payer, la résolution immuable que j'avais prise de ne pas avoir ce collier sans argent; madame de La Motte a conspiré avec vous par zèle pour moi, et aujourd'hui elle craint ma colère et ne se présente pas. Est-ce cela? Ai-je reconstruit l'affaire au milieu des ténèbres, dites-moi, oui. Laissez-vous reprocher cette légèreté, cette désobéissance

Peu importe, madame, comment se fera cette union, pourvu qu'elle se fasse! Me laissez-vous libre d'arranger la chose? demanda la reine avec un charmant sourire. Ah! madame, vous m'enivrez! s'écria le comte dans l'exaltation de sa double joie de fils et d'amant. Eh bien, je veux choisir l'église, l'heure, le jour... Voyons, vous n'êtes pas assez huguenot pour me refuser cette joie?...

Laissez-vous toujours voir par François; il bourre ses yeux de souvenirs qui nous intéressent, même nous amusent, Hélène et moi. Il dépeint l'emmaillotement de la gouttière soutenant le bras... nous voil

Il y avait dans cette parole du comte une vibration magnétique dont les sens épuisés du misérable furent ravivés une dernière fois. «Oh! en effet, dit-il, il me semble que je vous ai vu, que je vous ai connu autrefois. Oui, Caderousse, oui, tu m'as vu, oui, tu m'as connu. Mais qui donc êtes-vous, alors? et pourquoi, si vous m'avez vu, si vous m'avez connu, pourquoi me laissez-vous mourir?

LADY GREY. Laissez-vous donc attendrir, auguste souverain, et accordez-moi cette grâce. LE ROI

Patience, répondit-il en revenant au «vouspatience, impétueuse jeunesse! On n'a point bâti Paris en un jour. Laissez-vous guider, ô mon fils! laissez-nous mesurer le fardeau

Pitié! continuait la femme en m'embrassant les genoux... Nous sommes des misérables... et je me repens de ce que nous avons fait... Vous êtes, je le sais, obligé d'accomplir votre devoir, car vous êtes un honnête homme, vous, mais je vous en supplie... laissez-vous attendrir... Vous avez du coeur, n'est-ce pas?... Vous ne voudriez pas envoyer

Je ne puis rien trouver qui vous soit comparable, Monsieur, dit-il, rien que le granit. Encore le granit même s'use-t-il par l'effet du temps. De grâce, dans l'intérêt de la paix et du repos, au nom de votre dignité laissez-vous amollir un peu.... Ah! si vous vouliez seulement déléguer votre autorité

Laissez-vous adorer, au grand air, dans les plaines, Lorsque les vents chauffés tombent du ciel en feu, Qu'immobiles d'orgueil, au bord de l'étang bleu, Dans les midis vibrants et roux, trônent les chênes. Au temps les taureaux fougueux sentent venir L'accès dit rut, la fièvre affolante, hagarde, Lorsque dans les vergers des fermes on regarde Les jeunes étalons, le cou tendu, hennir;