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Mis à jour: 10 juin 2025


Démence très attentive dans le fond. La suite des «mouvements d'âme» de Paul Costard est extravagante, mais vraie. À un moment, il raconte «la plus forte émotion de sa vie». C'était un soir , ayant «plaqué» une petite amie, il était venu chercher l'apaisement aux Folies-Bergère. Il y vit «sept étalons de l'Ukraine» présentés en liberté. Ces noirs coursiers balançaient lentement leurs têtes surmontées de panaches noirs, ce pendant que l'orchestre jouait une musique solennelle. Et cette musique, ces panaches de corbillard... Paul Costard sentit quelque chose pleurer dans son coeur. De même, après la constatation parallèle des deux flagrants délits, Costard, abandonné par Bobette, et, l

Pour les étalons errants d'une Fantaisie toujours attelée, cette uniformité est toute pleine d'ennui et doit paraître une platitude que, par condescendance, ils voudront bien appeler divine. Il n'y a pas lieu d'espérer qu'ils en puissent être autrement édifiés. Mais Marchenoir y découvrait, au contraire, une source clarifiée de poésie, infiniment supérieure

Que le diable me saisisse par les pieds, au moment de la charge, si je ne rentre dans mon bien. Je ferai tout, oui tout. Ne sais-tu pas que les gens des tribus voisines me bafouent. Ils disent: «Salah-ben-Omar se fait vieux et les hommes de son douar dorment comme des femmes après le plaisir. A deux pas de la natte il repose, on lui a volé son cheval de guerreAh! c'est le Seigneur des étalons et tu ne trouverais pas son égal dans les six escadrons de spahis. Que de fois, dans les grandes razzias du Souf, il a mangé quatre-vingts lieues en vingt-quatre heures, pendant des semaines et des mois, la selle au dos, ne broutant dans les courtes haltes que les feuilles de palmiers nains! Merzoug! Merzoug! c'est mon frère, c'est mon fils! mon compagnon des jours noirs! Et tu veux que je ne l'entende plus se secouer bruyamment quand j'ai mis pied

LORENZO. La raison en est que vos esprits sont attentifs; car voyez un sauvage et folâtre troupeau, une bande de jeunes étalons qui n'ont point encore senti la main de l'homme, bondissant avec folie, et faisant retentir leurs voix par de bruyants hennissements, effet de l'ardeur de leur sang; si par hasard ils viennent

Le 8. Spectacle extraordinaire pour l'oeil d'un Anglais: plusieurs bâtiments, trop bien construits pour mériter le nom de chaumières, n'ont pas une vitre. À quelques milles sur la droite se trouve Pompadour, haras royal; il y a des chevaux de toutes races, mais principalement des arabes, des turcs et des anglais. Il y a trois ans, on importa quatre étalons arabes coûtant soixante-douze mille livres (3 149 L.). Le prix d'une saillie n'est que de trois livres, au bénéfice du palefrenier; les propriétaires peuvent vendre leurs poulains comme ils l'entendent, mais lorsque ceux-ci atteignent la taille voulue, les officiers du roi jouissent d'un privilège, pourvu qu'ils donnent le prix offert par d'autres. On ne monte pas ces chevaux avant six ans. Ils pâturent tout le jour; la nuit on les renferme par crainte des loups, une des grandes plaies du pays. Un cheval de six ans, haut de quatre pieds six pouces, se vend soixante-dix liv. st.; on a offert quinze liv. st. d'un poulain d'un an. Passé Uzarche; dîné

Le trajet se fit rapidement et gaiement. Les deux petits étalons sardes attelés

Que donnerait cette audacieuse acquisition?... Les détracteurs évoquaient tout bas les grands chevaux qui furent de médiocres étalons: Gladiateur, Boïard, Salvator, et même Ormonde, duquel ne naquirent qu'Orme et le terne Goldfinck. M. Edmond Blanc gardait la foi.

Jadis c'était la vie énorme, exaspérée, Sauvagement pendue aux crins des étalons, Soudaine, avec de grands éclairs

Laissez-vous adorer, au grand air, dans les plaines, Lorsque les vents chauffés tombent du ciel en feu, Qu'immobiles d'orgueil, au bord de l'étang bleu, Dans les midis vibrants et roux, trônent les chênes. Au temps les taureaux fougueux sentent venir L'accès dit rut, la fièvre affolante, hagarde, Lorsque dans les vergers des fermes on regarde Les jeunes étalons, le cou tendu, hennir;

Allume les rochers et fait craquer les chênes; Dans les hameaux, tout un peuple tintamarrant Se prépare, brutal, aux kermesses prochaines, son rut roulera comme un fleuve au travers, Et des étalons roux, la prunelle élargie, Le ventre frémissant et les naseaux ouverts, Tendent leurs cous gonflés du côté de l'orgie. Enfin, la table est prête et dresse ses couverts.

Mot du Jour

detto

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