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Mis à jour: 11 juillet 2025


Dix ans se sont écoulés. Ah! ma chère âme, que de tempêtes ont grondé, que d'eau noire, que de débâcles ont passé depuis ce temps sous les ponts croulants de mes rêves! Dix ans de travaux forcés, dix ans d'amertume, de coups donnés et reçus, d'éternel combat! J'ai le coeur et le cerveau tout balafrés de blessures. Si tu voyais ton amoureux de jadis, ce grand garçon souple qui rêvait de déplacer les montagnes d'une chiquenaude, si tu le voyais passer dans le jour blafard de Paris, la face terreuse, alourdi de lassitude, tu grelotterais, ma pauvre Ninon, en regrettant les clairs soleils, les midis ardents, éteints

Eh bien! c’est ce qui se produirait sur la Terre, si le président Barbicane accomplissait son oeuvre. Seulement, comme le mouvement de rotation sur le nouvel axe terrestre ne serait ni accru ni amoindri, comme vingt-quatre heures sépareraient toujours deux midis successifs, les nuits et les jours seraient exactement de douze heures en n’importe quel point de notre sphéroïde. Les crépuscules et les aubes allongeraient les jours d’une quantité toujours égale. On vivrait au milieu d’un équinoxe perpétuel, tel qu’il se produit le 21 mars et le 21 septembre sur toutes les latitudes du globe, lorsque l’astre radieux décrit sa courbe apparente dans le plan de l’

Laissez-vous adorer, au grand air, dans les plaines, Lorsque les vents chauffés tombent du ciel en feu, Qu'immobiles d'orgueil, au bord de l'étang bleu, Dans les midis vibrants et roux, trônent les chênes. Au temps les taureaux fougueux sentent venir L'accès dit rut, la fièvre affolante, hagarde, Lorsque dans les vergers des fermes on regarde Les jeunes étalons, le cou tendu, hennir;

La forêt blonde est pleine d'amour: après la déchéance du soleil et la nuit, les joyaux du sourire. Ensemble, nos âmes ont tressailli au retour de la clarté primordiale; les midis ne nous ont pas aveuglés, car nous avons dormi, pendant la chaleur du jour,

Par une autre porte, dont la voûte humide faisait pressentir la poussée prochaine des lierres et des orties, nous sommes entrés dans le couvent. Il semblait d'abord qu'il n'y eût personne. La grande cour paraissait immobilisée par le soleil lourd des midis d'été. Deux ou trois figures parurent aux fenêtres; un domestique, puis un diacre vinrent

Et je songeais encore: Quel serait mon soleil sans la caresse, et la splendeur, et le vermeil éclat de ses cheveux, quel serait mon soleil sans elle? Il ferait nuit sans la clarté de ses yeux bleus; la pourpre des matins pâlirait dans mes cieux, plus de midis, sans la clarté de ses yeux bleus, sans elle.

Les midis, d'un vaste or fluide, le soir mauve, L'aube, tout ce qui passe et part incessamment, Vient tenter l'âme en songe et qui se croyait sauve Derrière le cristal de son renoncement. Ah! les vitres, toujours reprises par la Vie, Qui, reflétant la vaine ivresse du départ, Sont complices du ciel en marche qui convie, Comme s'il y avait le bonheur autre part!

Depuis plusieurs jours je me rendais tous les matins et tous les midis

Après cela, c'était l'été: l'éblouissement des midis ensoleillés, la montée de l'air brûlant qui faisait vaciller l'horizon et la lisière du bois, les mouches tourbillonnant dans la lumière, et

Le polder moite et qui suait sa force crue, Sous les midis, par coins de glaise étincelants, S'étalait tel: en champs luisants de miroirs blancs Taillés

Mot du Jour

orneront

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