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Mis à jour: 13 juin 2025


Fabre d’Olivet prétendait avoir traduit son ouvrage du provençal et du languedocien; en réalité les poèmes étaient, en grande partie, de sa propre composition. «En insérant dans ses notes des fragments prétendus originaux, Fabre avait eu l’artifice d’y entremêler quelques fragments véritables, dont il avait légèrement fondu le ton avec celui de ses pastiches; de sorte que la confusion devenait plus facile et que l'écheveau était mieux brouillé

«Vu la nature remuante de Jane, dit-il enfin, avec plus de tranquillité que je n'avais lieu d'en attendre d'après son regard, l'écheveau de soie s'est assez bien dévidé jusqu'ici; mais je savais bien qu'il arriverait un noeud et que la soie se brouillerait; le voil

Je jalouse le sort des plus vils animaux Qui peuvent se plonger dans un sommeil stupide, Tant l'écheveau du temps lentement se dévide! Toi qui, comme un coup de couteau. Dans mon coeur plaintif est entrée; Toi qui, forte comme un troupeau De démons, vins, folle et parée, De mon esprit humilié Faire ton lit et ton domaine. Infâme

Ici Dupleix débrouillait avec une lumineuse sûreté de mémoire l'écheveau des batailles, des révolutions, des égorgements, enroulé, noué, tordu et retordu autour des successions contestées du soud'habar du Dekkan et du fameux nabab du Carnatic. En quelques pages, il éclairait les fantastiques ténèbres de cette épopée des héros aux noms sauvages, plus nombreux que ceux de l'Iliade et plus terribles, s'entrehachaient autour de l'éléphant blanc, monture du vieux Myrza-Jung, qui,

Toutes les mains de la nuit avaient tissé ce chaos. Les trois Concupiscences, comme des fileuses infatigables, avaient fourni l'écheveau, et les sept Péchés l'avaient dévidé, ventre

J'ai une passion pour la critique; rien ne me rend heureux comme d'écrire, de raconter les mille incidents dramatiques, toujours piquants, toujours nouveaux d'un livret d'opéra: les angoisses des deux amants, les tourments de l'innocence injustement accusée, les spirituelles plaisanteries du jeune comique, la sensibilité du bon vieillard; de démêler patiemment ces charmantes intrigues, quand je pourrais couper l'écheveau brusquement; de m'attendrir ou de rire comme tout le monde au dénoûment, quand tout est arrangé, quand la vertu triomphe, quand l'imposture est démasquée ou quand un trompeur est lié et berné par un trompeur et demi, quand enfin les amoureux sont heureux. Je trouve toujours délicieux de décrire les naïfs transports, les fraîches impressions de ce public de nos théâtres lyriques, public si impressionnable et si judicieux en même temps, qui applaudit avec autant de chaleur que de discernement; de raconter ces ovations, ces pluies de fleurs spontanées, ce pur enthousiasme qui n'a rien d'outré, rien surtout d'arrangé, dans l'expression duquel l'intrigue ni de vils intérêts n'ont aucune part; ces rappels, ces clameurs involontaires d'un auditoire éperdu d'admiration, qui ne redemande les artistes que parce qu'il éprouve un besoin impérieux de les voir, de les revoir encore, de les applaudir derechef et de leur témoigner sa vive gratitude pour les ineffables jouissances que, pendant plusieurs ardentes heures, ils lui ont procurées... C'est une si belle passion, la passion du beau, que rien n'élève l'âme comme le spectacle d'un enthousiasme profond, ardent et sincère. Et quoi que ce spectacle nous soit très fréquemment offert dans nos théâtres

Schmidhauser, qui dirige la discussion, demande que l'on soit juste envers tous les peuples; qui tous se trouvent impliqués dans l'écheveau impérialiste de la politique européenne.

C'est dans cette position romantique qu'Osborne et Amélia trouvèrent ce couple intéressant, quand ils revinrent annoncer que la salade était prête. L'écheveau était enroulé autour de la carte, mais Joseph Sedley n'avait encore parlé de rien. «Ce sera assurément pour ce soir, ma chèredit Amélia en serrant la main de Rebecca.

Elles s'entouraient d'un halo Dans l'air qui, de les voir jeunes, semblait vieilli; Si calmes, elles étaient comme un fruit cueilli; Fraîches, elles semblaient avoir joué dans l'eau. Ces fières mains, ces mains douces, ces mains bénignes Qui se posaient sur mes cheveux, pleines de zèles; Qui me couvaient avec l'appuiement chaud des ailes Et miraient dans mes yeux l'écheveau de leurs lignes.

MACBETH. Il m'a semblé entendre une voix crier: «Ne dormez plus! Macbeth assassine le sommeil, l'innocent sommeil, le sommeil qui débrouille l'écheveau confus de nos soucis; le sommeil, mort de la vie de chaque jour, bain accordé

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