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Mis à jour: 11 mai 2025
Vingt-cinq ans plus tard (pendant lesquels le diapason avait rapidement monté), on multiplia les notes hautes pour les soprani et les ténors; on vit paraître les ut naturels aigus, en voix de tête et en voix de poitrine dans les rôles de ténor; l'ut dièse aigu dans ces mêmes rôles en voix de tête, il est vrai, mais que les anciens compositeurs n'eurent jamais l'idée d'employer. On exigea de plus en plus souvent des ténors le si naturel aigu lancé avec force en voix de poitrine (qui eût été pour l'ancien diapason un ut dièse dont il n'y a pas trace dans les partitions du siècle dernier), les ut aigus attaqués et soutenus par les soprani, et l'on sema les rôles de basse de mi naturels hauts. Ce dernier son, trop souvent employé par les vieux maîtres sous le nom de fa dièse haut,
Non, monsieur, je fais ce qui est écrit! Mais je vous dis que non, vous vous trompez d'un ton! Cependant je suis sûr de faire l'ut! En quel ton est la trompette dont vous vous servez? En mi b! Eh! parlez donc, c'est l
Non, monsieur, je fais ce qui est écrit! Mais je vous dis que non, vous vous trompez d'un ton! Cependant je suis sûr de faire l'ut! En quel ton est la trompette dont vous vous servez? En mi b! Eh! parlez donc, c'est l
La soirée fut vive, gaie, aimable. La belle humeur souveraine du grand-père donna l'ut
C'est pour accompagner ce groupe de voix lointaines que le compositeur, pour la première fois, a employé l'ut grave du trombone-basse, que nos trombones-ténors ne possèdent pas, et pour lequel on emploie maintenant
Achille, dans Iphigénie en Aulide (l'un des rôles de ténor les plus hauts de Glück), ne monte qu'au si naturel, lequel si était alors ce qu'est aujourd'hui le la et se trouvait en conséquence d'un ton plus bas que le si actuel. Une seule fois il écrivit dans Orphée un re aigu; mais cette note unique, qui était le même son que l'ut employé trois fois dans Guillaume Tell, est présentée dans une vocalise lente en voix de tête, de façon
Une histoire non moins grave et non moins intéressante, c'est le procès du Dauphin. «Quoi! le Dauphin devant un tribunal? Oui, le Dauphin, un vrai fils de roi. En police correctionnelle... ou en cour d'assises? Non pas, mais au tribunal de commerce. Où en est la royauté, hélas!» Le conflit était sérieux: il s'agissait du Dauphin, fils de Charles VI, opéra en cinq actes d: M. Casimir Delavigne, musique de M. Fromental Halévy. Le Dauphin ne voulait plus l'être, sous prétexte que ce rôle de Dauphin était peu digne d'un ut de poitrine de sa qualité... M. Léon Pillet déclarait que l'ut de poitrine et le Dauphin étaient parfaitement au diapason l'un de l'autre. Les Xaintrailles et les Lahire du tribunal de commerce, donnant gain de cause
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