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Mis à jour: 11 juin 2025
J'étais sur une terrasse au-dessus de l'oasis, en vue du désert, au plein sud, peignant malgré le vent, malgré le sable, malgré les dalles qui me brûlaient les pieds, les murs qui me brûlaient le dos, ma boîte
Il fait encore nuit quand nous partons. Et, après avoir traversé un ruisseau, la rivière de Gabès, c'est encore au milieu de l'obscurité, épaissie par la voûte pesante des hautes frondaisons, que nous pénétrons dans l'oasis. Nous suivons un chemin brisé
Passé minuit, quand tout enfin se tait, le silence appartient aux rossignols, qui emplissent l'oasis d'une exquise et grêle musique de cristal. Lundi, 9 avril. Nous quittons dès le matin Jéricho pour remonter vers Jérusalem.
Et derrière nous s'éloigne l'oasis, toute sa fantasmagorie de nuages dorés et de palmes noires. A nouveau, c'est le désert; mais un désert de plus en plus affreux, où il y a de quoi perdre courage. Des trous, des ravins, des fondrières; un pays ondulé, bossué; un pays de grandes pierres cassées et roulantes, où les sentiers ne font que monter et descendre, où nos bêtes trébuchent
De chaque côté de la ville s'étend l'oasis, aussi muette et comme endormie de même sous la pesanteur du jour. Elle paraît toute petite, et se presse contre les deux flancs de la ville, avec l'air de vouloir la défendre au besoin, plutôt que l'égayer. Je l'embrasse en entier: elle ressemble
Il est quatre heures du soir, quand nous apercevons les arbres de l'oasis de Koum, les champs de blé, et enfin la ville; amas sans fin de ruines grises, toujours et toujours, décombres et fondrières. Il y a naturellement des coupoles par milliers, des donjons, des minarets partout et de toutes les formes; des tours d'une couleur beige, des tours roses, qui sont comme coiffées d'un turban d'émail bleu. Et, sur chaque pointe dressée vers le ciel, se tient gravement une cigogne debout dans son nid. Il y a beaucoup de jardins
Enfin haletants, fatigués, méconnaissables par l'enflure causée par les piqûres des mouches, nous arrivâmes sous la direction de Baptiste dans une charmante érablière où le bruit d'une forte chute d'eau se faisait entendre. C'était l'oasis désirée. Des hourras frénétiques la saluèrent. Nous allions nous élancer dans la direction de la chute, lorsqu'un sifflement aiguë et un signe énergique de Baptiste qui se tenait immobile au milieu du sentier, nous arrêta. Il nous montrait du doigt une magnifique famille de perdrix branchées sur un arbre du voisinage. Elles semblaient être venues s'offrir intentionnellement comme le menu du repas, aussi n'en fîmes nous pas fi. Quatre
Roushan obéit, et quand ils eurent atteint l'oasis, Mirza-Serraf tira de dessous son bras un vieux livre d'astrologie qui ne le quittait jamais, et dit: «O mon fils, cherche dans ce livre un passage qui traite de l'apparition de deux étoiles, l'une
Le contraste la faisait obscure, dans toute la partie que ne baignait pas directement le jour de l'oasis. Le soleil, en train de mourir derrière la montagne, peignait de rose les graviers des allées, et de rouge sanglant le flamant hiératique posé, une patte en l'air, au bord du petit lac de profond saphir.
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