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Mis à jour: 11 juin 2025
Trois heures du matin. Sur l'étendue claire, une tache noire, en avant de nous, se dessine et grandit: ce sont les arbres, les palmiers, les verdures de l'oasis; c'est l'étape, et nous arrivons.
Malgré l'heure matinale, la rue était pleine de monde et l'on s'entretenait dans les groupes de choses qui tout d'abord le firent frissonner; plus mort que vif, et sentant son coeur s'en aller, il essayait et craignait de comprendre, lorsque la porte s'ouvrit avec fracas et le Muezzin, la face rouge et boursouflée, la tête pelée et nue, l'oeil sanguinolent, parut sur le seuil. Il enfonçait ses doigts osseux dans sa barbe blanche et criait: Volée, on me l'a volée. Meryem, ma douce Meryem, la perle de l'oasis. Cinq cents douros, mes enfants, j'en avais refusé cinq cents douros. Et voil
Avant la nuit, quelques centaines de kilomètres furent enlevées au-dessus d'un territoire assez plat, sillonné de grandes dunes. Si l'Albatros eût voulu faire halte, il aurait alors atterri dans les bas-fonds de l'oasis de Ouargla, blottie sous une immense forêt de palmiers. La ville se montra très visiblement avec ses trois quartiers distincts, l'ancien palais du sultan, sorte de Kasbah fortifiée, ses maisons construites en briques que le soleil s'est chargé de cuire, et ses puits artésiens, forés dans la vallée, où l'aéronef eût pu refaire sa provision liquide. Mais, grâce
Derrière lui, le haut minaret, dressé dans le ciel noir comme un génie immense, semblait veiller sur cette petite cité silencieuse, endormie dans les vastes solitudes du désert. Il arriva haletant dans le dédale des chemins de l'oasis. Alors il ralentit le pas et se glissa derrière le mur du jardin du Muezzin. Il écouta.
La lueur du brasier jetait des teintes sanglantes sur leurs visages blafards frappés du sceau des basses luxures, et des cavaliers du goum se glissèrent auprès d'eux. Mais voici qu'un bruit sourd, un bruit de voix et de pas se lève. Tous dressent l'oreille, et les Fréchiches, le cou tendu et l'oeil inquiet, interrogent l'espace dans la direction de l'oasis.
Parfois elle se tournait, en rêvant, du côté de la ville, essayant de voir ses vieux murs lézardés, qui s'allongeaient au milieu de la végétation échevelée de l'oasis; elle ne distinguait que la riante nappe verte d'où s'élançait gracieusement le frêle minaret de la mosquée.
La lune, cachée jusqu'ici derrière les hauts palmiers de l'Oasis, se montra tout
Avant de quitter l'oasis que notre éminent historien M. Raynal appelle avec raison le Highland du Berry, nous donnâmes grande attention aux figures, soit dans le village, soit sur les chemins et dans les hameaux environnants.
A cette hauteur, nous aurions pu nous croire entourés de sable. L'oasis se dressait en noir
Et, depuis ce temps, le haouch de la plaine d'Ain-Chabrou est triste comme une fosse qui attend son mort. Cependant, de même qu'autrefois, le soleil le caresse, l'oasis verdoie, les chants des oiseaux éclatent dans les buissons, et le ruisseau s'en va courant sous les saules. Mais les grandes herbes sauvages ont envahi le seuil; la mousse, semblable
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