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Il fait encore nuit quand nous partons. Et, après avoir traversé un ruisseau, la rivière de Gabès, c'est encore au milieu de l'obscurité, épaissie par la voûte pesante des hautes frondaisons, que nous pénétrons dans l'oasis. Nous suivons un chemin brisé
Nous avons signalé, dans notre numéro du 8 mars dernier, le beau raid accompli par les aviateurs militaires du centre de Biskra, en publiant des photographies prises aux étapes de Tozeur et de Gabès. Voici aujourd'hui quelques curieuses images des mêmes endroits, vus du haut d'un des aéroplanes de l'escadrille, l'appareil Farman du lieutenant Reimbert, qu'accompagnait le caporal Dewoitine, auteur de ces clichés: les villes, avec leurs oasis qui les entourent de verdure sombre, et l'immense étendue du désert, y apparaissent sous des aspects que l'objectif n'avait point encore enregistrés jusqu'
«Elle y était encore le soir, quand ils se trouvèrent pour le dîner, et ce ne fut que lorsqu'un coup de sirène, suivi de volutes de fumée, s'échappant de la cheminée rouge et noire, eut annoncé le départ du paquebot pour Gabès, ce fut seulement alors que reprirent les causeries, mais pas aussi gaies que d'habitude.
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