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Mis à jour: 5 mai 2025
Wilh. Grimm. Grimm. Mais, qui le croirait? c'est au milieu des frimas du pôle, en Islande et en Scandinavie, que les traditions sur le grand roi des Huns furent recueillies avec le plus d'empressement peut-être et de curiosité; ce sont des scaldes du Groënland norvégien qui nous en ont transmis les souvenirs les plus fidèles dans deux poëmes intitulés Atla-Mâl et Atla-Quida, Récit et Chant d'Attila, que d'autres morceaux poétiques non moins précieux développent et complètent. Les chants scandinaves où il est question d'Attila forment plus du tiers de l'Edda de Saemund, et nous savons qu'ils existaient déj
Quelques mots de Tacite nous révèlent seuls l'existence des nations finniques dans le nord de l'Europe antérieurement au IVe siècle ; elles y vivaient dans un état voisin de la vie sauvage, et nous ne connaissons que par les poésies mythiques du Kalewala et de l'Edda leurs luttes acharnées contre les populations scandinaves. A l'est, leur nom disparaît sous des dénominations de confédérations et de ligues qui, formées autour de l'Oural, agissaient tantôt sur l'Asie, tantôt sur l'Europe, mais plus fréquemment sur l'Asie. La plus célèbre de ces confédérations paraît avoir été celle des Khounn, Hounn , ou Huns, qui, au temps dont nous parlons, couvrait de ses hordes les deux versants de la chaîne ouralienne et la vallée du Volga. Elle y existait dès le second siècle de notre ère, puisqu'un géographe de cette époque, Ptolémée, nous signale l'apparition d'une tribu de Khounn parmi les Slaves du Dniéper, et, qu'un autre géographe nous montre des Hounn campés entre la mer Caspienne et le Caucase, d'où leurs brigandages s'étendaient en Perse et jusque dans l'Asie Mineure . On croit même retrouver dans les inscriptions cunéiformes de la Perse, ce nom terrible inscrit au catalogue des peuples vaincus par le grand roi. Qu'il nous suffise de dire qu'au IVe siècle la confédération hunnique s'étendait tout le long de l'Oural et de la mer Caspienne, comme une barrière vivante entre l'Asie et l'Europe, appuyant une de ses extrémités contre les montagnes médiques, tandis que l'autre allait se perdre,
D'après l'Edda, «les fées qui sont d'une bonne origine sont bonnes et dispensent de bonnes destinées; mais les hommes
Transportons-nous dans l'extrême Nord, au milieu des Scaldes du VIIIe et du iXe siècles, et lisons ces poëmes de l'Edda dont je parlais tout
Quand on compare les chants de l'Edda aux poëmes germaniques du cycle des Niebelungs, et surtout au beau et grand poëme de ce nom, le Niebelungenlied, astre de cette pléiade, on est frappé des différences qu'ils présentent; mais l'étonnement s'accroît quand on approfondit la nature de ces différences. Ainsi, dans les uns et dans les autres, le cadre est le même, les personnages sont les mêmes, le fil conducteur de l'action est le même; seulement l'intention poétique, les caractères sont tout autres, et le dénoûment est changé: la tradition scandinave se réfléchit bien dans la tradition germanique, mais elle s'y dessine
Les chants de l'Edda nous montrent la jeune reine triste dans ce palais où le souvenir de son premier mari la poursuit jusque dans les bras du second. Elle y avait rencontré Théodoric, qui pleurait son royaume perdu; la communauté de tristesse les rapproche. D'un autre côté, Herkia, la reine Kerka de Priscus, qui ne figure ici que comme une concubine, épie Gudruna avec jalousie et remplit de soupçons le cœur de son maître . Lui cependant ne cesse de réclamer le trésor de Sigurd, que Gunther et Hagen retiennent déloyalement, quoiqu'il soit la propriété de leur sœur; mais ni prières ni menaces n'ont d'effet sur eux. Cette partie de la fable est fort obscure, et on ne sait pas comment le roi des Huns parvient
[Note 490: Leurs noms ont reçu dans l'Edda des altérations conformes
Elle alla au fond de la chambre chercher l'Edda, vint se rasseoir près de son père taciturne, et ouvrit le livre au hasard. Alors, calmant l'émotion de sa voix, elle se mit
[Note 127: On peut consulter divers passages de l'Edda et particulièrement les poëmes relatifs
Basine a le don de seconde vue, comme la Brunhild de l'Edda.
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