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Mis à jour: 29 juin 2025
Avar n'était point leur nom; ils s'appelaient Ouar, mot auquel s'ajoutait communément celui de Khouni, qui indiquait leur origine hunnique . Effectivement les Ouar-Khouni étaient Huns du rameau oriental, et compris dans cette masse de tribus qui, sous le nom d'Ougour ou Ouigour, parcouraient, aux Ve et VIe siècles, les grands espaces au nord de la mer Caspienne et,
Le projet d'Attila, confirmé par le mouvement de l'armée hunnique, répandit l'épouvante dans Rome, qui ne se savait pas elle-même si redoutable. L'empereur, le sénat et le peuple, qui fut consulté pour cette fois, s'accordèrent dans la pensée qu'il fallait s'humilier devant le conquérant barbare, et obtenir
CHAPITRE PREMIER. SECOND EMPIRE HUNNIQUE: Domination des Avars sur le Danube. Mœurs de ce peuple; son organisation politique. Goût de Baïan pour le luxe. Les Franks-austrasiens vaincus par les enchantements des Avars. Baïan épargne la ville d'Augusta sur la demande de ses femmes. Déclamation imprudente de l'ambassadeur Commentiole; Baïan le fait mettre aux fers. Irruption des Slovènes jusqu'
Après le premier empire hunnique et le royaume créé de ses débris, les hordes hunniques se transforment; et l'on voit arriver du fond de l'Asie, sous le nom d'Avars ou plutôt de Ouar-Khouni, une branche collatérale des Huns, qui fonde au nord du Danube une nouvelle domination, un second empire hunnique, presque égal en étendue au premier, non moins redouté des Romains, et qui posséda, dans la personne de son kha-kan Baïan, un digne émule d'Attila. Détruit par l'effort combiné des Franks, des Bulgares et des Slaves, ce second empire fait place
En étudiant dans l'histoire les mœurs et les croyances religieuses de la nation hunnique, nous avons signalé chez cette nation certains caractères communs
Theophan. On se rappelle l'état de détresse auquel le second empire hunnique était réduit au moment de cette double mort: Baïan vaincu cinq fois au del
On sait l'occasion de la première migration des barbares dans l'Empire. Jusqu'en 375, il n'y avait eu que des incursions, des invasions partielles. À cette époque les Goths, fatigués des courses de la cavalerie hunnique qui rendait toute culture impossible, obtinrent de passer le Danube, comme soldats de l'Empire, qu'ils voulaient défendre et cultiver. Convertis au christianisme, ils étaient déj
Quelques mots de Tacite nous révèlent seuls l'existence des nations finniques dans le nord de l'Europe antérieurement au IVe siècle ; elles y vivaient dans un état voisin de la vie sauvage, et nous ne connaissons que par les poésies mythiques du Kalewala et de l'Edda leurs luttes acharnées contre les populations scandinaves. A l'est, leur nom disparaît sous des dénominations de confédérations et de ligues qui, formées autour de l'Oural, agissaient tantôt sur l'Asie, tantôt sur l'Europe, mais plus fréquemment sur l'Asie. La plus célèbre de ces confédérations paraît avoir été celle des Khounn, Hounn , ou Huns, qui, au temps dont nous parlons, couvrait de ses hordes les deux versants de la chaîne ouralienne et la vallée du Volga. Elle y existait dès le second siècle de notre ère, puisqu'un géographe de cette époque, Ptolémée, nous signale l'apparition d'une tribu de Khounn parmi les Slaves du Dniéper, et, qu'un autre géographe nous montre des Hounn campés entre la mer Caspienne et le Caucase, d'où leurs brigandages s'étendaient en Perse et jusque dans l'Asie Mineure . On croit même retrouver dans les inscriptions cunéiformes de la Perse, ce nom terrible inscrit au catalogue des peuples vaincus par le grand roi. Qu'il nous suffise de dire qu'au IVe siècle la confédération hunnique s'étendait tout le long de l'Oural et de la mer Caspienne, comme une barrière vivante entre l'Asie et l'Europe, appuyant une de ses extrémités contre les montagnes médiques, tandis que l'autre allait se perdre,
Tel fut l'hymne de malédiction qui salua le troisième empire hunnique
Nous nous sommes donc convaincu que la nation hunnique se rattache
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