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Mis à jour: 28 juin 2025
Nous sommes confirmé dans cette pensée lorsque nous comparons les dates des invasions hunniques avec celles des invasions ottomanes. Ces migrations, qui suivent des voies différentes, sont motivées par la même cause, l'irruption des Mongols. Ceux-ci apparaissent derrière les Hongrois et viennent porter l'effroi, au treizième siècle, jusque dans l'Europe orientale.
Il faudrait dire présentement d'où sont sortis les peuples hunniques. Ici les traditions hongroises se taisent. Les traditions turques, il est vrai, assurent que les Turcs et les Magyars ont eu une même patrie . Mais comment découvrir la patrie première d'une nation nomade? Cette question, qui ne saurait être décidée dans l'état actuel de la science, peut rester toujours sans solution.
L'histoire nous montre ainsi depuis le milieu du IVe siècle, dans les vallées moyenne et basse du Danube, une succession non interrompue de peuples hunniques perpétuant la tradition d'Attila. Cette permanence des Huns dans les contrées orientales et au cœur même de l'Europe n'est-elle qu'une question purement archéologique et spéculative? La guerre qui vient de s'achever répondra pour moi. Les vallées du Volga et du Don, les versants de l'Oural, les steppes de la mer Caspienne et de la mer Noire, contiennent encore les races qui vinrent au IVe siècle avec Balamir, au Ve avec Attila, au VIe avec les Avars, au IXe avec les Hongrois, occuper le centre de l'Europe et menacer surtout la Grèce. Il y a aujourd'hui quinze siècles que le cri,
Nous pouvons reconnaître que les peuples hunniques sont venus de l'Asie,
Dans l'Europe orientale, son esprit anime encore les tronçons de l'empire des Huns; plusieurs de ses fils se montrent vaillants hommes, et sa gloire ouvre aux derniers bans des nations hunniques un chemin facile vers le Danube. Elles s'y succèdent pendant trois siècles presque d'année en année, sous les noms d'Outigours, Koutrigours, Avars, Bulgares, Khazars, jusqu'
Après le premier empire hunnique et le royaume créé de ses débris, les hordes hunniques se transforment; et l'on voit arriver du fond de l'Asie, sous le nom d'Avars ou plutôt de Ouar-Khouni, une branche collatérale des Huns, qui fonde au nord du Danube une nouvelle domination, un second empire hunnique, presque égal en étendue au premier, non moins redouté des Romains, et qui posséda, dans la personne de son kha-kan Baïan, un digne émule d'Attila. Détruit par l'effort combiné des Franks, des Bulgares et des Slaves, ce second empire fait place
Ce refus mit les princes huns hors d'eux-mêmes. Ils se réunirent de nouveau pour exhaler leur colère, et dans ce conseil, qui paraît avoir été fort tumultueux, les résolutions les plus violentes furent agitées. Il y eut un parti de la guerre qui prétendait qu'une pareille injure ne pouvait être lavée que par des flots de sang dans les murs mêmes de Constantinople, et Denghizikh se trouva naturellement l'organe obstiné de ce parti; mais il rencontra en face de lui Hernakh, qui se fit avec non moins d'obstination l'avocat des résolutions pacifiques . Entre autres arguments en faveur de la paix, il fit valoir celui-ci: «que les Acatzires, les Saragours et les autres tribus hunniques voisines du Caucase et de la Mer-Caspienne étaient en ce moment même engagés dans une expédition au cœur de la Perse . «N'y aurait-il pas folie
L'année 450 commença sous ces auspices. Les contingents des tribus hunniques arrivaient en masse sur les bords du Danube; des armements s'opéraient chez les nations vassales de ces hordes, les Ostrogoths, les Gépides, les Hérules, les Ruges, et l'on annonçait que les Acatzires étaient en marche. L'inquiétude gagna l'empire d'Occident non moins que celui d'Orient: non-seulement l'affaire de Sylvanus restait sans conclusion, mais il était survenu depuis d'autres embarras plus graves; les conjonctures étaient menaçantes. Enfin deux messagers goths, partis de la Hunnie, se présentèrent, le même jour et
Ses pratiques de sorcellerie, sa laideur, sa férocité avaient fait de ce peuple ou de cette réunion de peuples un épouvantail pour les autres. Les Goths n'apprenaient jamais sans une secrète terreur quelque mouvement des tribus hunniques, et leur appréhension était mêlée de beaucoup d'idées superstitieuses. Le Scandinave et le Finnois avaient toujours été placés en face l'un de l'autre comme des ennemis naturels. A l'extrémité occidentale de l'Europe où les deux races se trouvaient en contact, l'enfant du Fin-mark était pour celui de la Scandie un nain difforme et malfaisant en rapport avec les puissances de l'enfer. Le Goth scandinave, nourri de ces préjugés haineux, les sentit se réveiller en lui, lorsqu'il se rencontra côte
Il est également fort concevable que les vaincus nous les représentent comme une horde de brigands, vivant sans Dieu, sans lois, et n'ayant d'autre jouissance que celle d'égorger: Hungarorum gentem cupidam, audacem, omnipotentis Dei ignaram, scelerum omnium non insciam, cædis et omnium rapinarum solummodo avidam ... Aussi n'est-ce pas dans nos annales que nous étudierons les mœurs des peuples hunniques.
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