Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 17 juin 2025
Après quelques incidents sans grande importance arrive Nadeshiko, la femme légitime du daïmyo, dans un riche costume. Elle est triste, se sentant délaissée pour une concubine, cette aventurière qu'
Quelques parlements, pour écarter les malhonnêtes prétentions d'avides collatéraux voulant dépouiller la femme ou les enfants d'un de leurs parents mariés au désert, étaient obligés de se baser sur la possession d'état de la veuve ou des orphelins; mais cet expédient légal mettait sur le même pied la concubine et l'épouse, le bâtard et l'enfant légitime.
Cette disgrâce est rare, parce qu'on prend soin d'examiner la fille avant le mariage, et qu'elle n'est demandée qu'après une parfaite conviction: d'ailleurs le malheur d'une fille n'est jamais irréparable; si elle ne peut demeurer femme de celui qui l'avait épousée, elle devient la concubine d'un autre; et le père est toujours sûr de trouver des marchands qui la recherchent.
Ils croyaient avoir jeté quelque charme lascif sur cet homme et cette jeune fille, qui ont fait serment qu'aucun des mystères du lit nuptial ne serait accompli avant que l'hymen n'eût allumé son flambeau; mais en vain: l'amoureuse concubine de Mars s'en est retournée; sa mauvaise tête de fils a brisé ses flèches; il jure de n'en plus lancer, et désormais, jouant avec les passereaux, de n'être plus qu'un enfant.
Un vieil annaliste anonyme, le religieux des Dombes, rapporte qu'une femme du nom d'Orberose fut possédée par le diable dans une caverne où, de son temps encore, les petits gars et les petites garces du village venaient faire, en manière de jeu, le diable et la belle Orberose. Il ajoute que cette femme devint la concubine d'un horrible dragon qui désolait la contrée.
Suivant le cardinal Richelieu, ce chanoine s'appeloit Guillaume Ségur, et Aubert ou Albert étoit le nom de la concubine. C'est ce qui fut cause que le comte Du Lude, après M. de Brèves, fut gouverneur de M. d'Orléans; puis le maréchal d'Ornano le fut, et ensuite M. de Bellegarde eut soin de sa conduite, sans qualité de gouverneur.
La loi du 27 juillet 1884, corrigeant l'ancien article 230 du Code civil, a rétabli l'égalité civile entre les conjoints, en édictant que «la femme pourra demander le divorce pour l'adultère du mari,» sans plus exiger que celui-ci ait entretenu sa concubine au domicile conjugal. Et il en va de même pour la séparation de corps.
Dans le cours de sa carrière conjugale, la Khonde qui se respecte a exercé son droit de mutation trois, quatre ou cinq fois. Rare anomalie, la réciproque n'est point admise pour le mari. S'il veut s'adjoindre une concubine, qu'il obtienne le consentement de sa légitime. Ne pouvant, comme sa compagne, arguer de l'incompatibilité d'humeur, il ne saurait divorcer qu'en cas d'adultère notoire, d'inconduite flagrante ou prolongée de la part de madame,
L'idée du rétablissement d'un royaume par l'intervention de l'amour ne sera qu'une chimère conçue par l'héroïne et narrée avec volupté par les écrivains épris de son histoire. L'ascension au trône d'une concubine n'est qu'une autre folie de ceux qui s'ingénièrent
C'est ainsi, conclut l'auteur, qu'une femme d'une bonne conduite, épouse ou vierge remariée, ou concubine, doit vivre purement, toujours dévouée
Mot du Jour
D'autres à la Recherche