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Mis à jour: 27 juin 2025
Cette admirable contention d'esprit peut toutefois sembler excessive chez un annaliste qui s'applique
Tous les amis des lettres connaissent Malespini, ce vieil annaliste qui crayonna, au XIIIe siècle, les premières pages de l'histoire de Florence. Les aventures de sa famille se liaient aux catastrophes qui frappèrent dans le XIe siècle la ville infortunée de Fiésole, que les Florentins, après une longue guerre civile, détruisirent de fond en comble, et dont ils transportèrent les habitants dans leurs murs. Eh bien, cette guerre, c'est Attila qui l'avait causée; ces cruautés des Florentins n'étaient qu'une représaille contre les Huns. Malespini nous l'affirme, il en avait lu les détails dans de vieilles écritures, in molte iscritture antiche, conservées
Un vieil annaliste anonyme, le religieux des Dombes, rapporte qu'une femme du nom d'Orberose fut possédée par le diable dans une caverne où, de son temps encore, les petits gars et les petites garces du village venaient faire, en manière de jeu, le diable et la belle Orberose. Il ajoute que cette femme devint la concubine d'un horrible dragon qui désolait la contrée.
Continuons nos extraits, même page: c'est un annaliste livonien, cité par Karamsin, qui parle. Cette fois, nous verrons successivement en scène un ambassadeur et un supplicié, tous deux également idolâtres de leur maître et bourreau. «Ni les supplices, ni le déshonneur ne pouvaient affaiblir le dévouement de ces hommes
«Dans chaque ménage, dit un annaliste local, on avait confectionné des omelettes, et tous les habitants, leur plat
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