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Mis à jour: 5 juin 2025
Ils ne remarquent rien, ni l'atroce crispation du sourire par lequel il répond
Tout le farouche dont il a su environner sa personne, sa réputation, tout cela n'est que vapeur. Il n'eut rien de son père, le dur et bilieux Provençal. Né Limousin et de mère limousine, il a de la pléthore du Nord, une ampleur rare dans le Midi. De son père, il n'a pas les dards, l'exquis, l'atroce, mais une veine énorme, d'incroyables torrents.
Ce qui précède n'était qu'un prélude, et alors commença une de ces scènes épouvantables, dont l'atroce barbarie ne serait point croyable aujourd'hui, si nos annales n'en étaient pas remplies avec l'attestation des témoins les plus véridiques.
Il est bien vraisemblable que des louanges aussi flatteuses sur mon talent m'auraient fait oublier tôt ou tard les attaques de David contre ma personne; mais ce que je n'ai jamais pu lui pardonner, c'est l'atroce conduite qu'il a tenue pendant la terreur; ce sont les persécutions exercées lâchement par lui contre un grand nombre d'artistes, entre autres contre Robert le paysagiste qu'il fit arrêter et traiter dans la prison avec une sévérité qui allait jusqu'
L'atroce immobilité des traits du monstre, le calme intrépide de ceux d'Ordener contrastaient singulièrement avec la promptitude de leurs mouvements et la vivacité de leurs attaques.
Avec une rapidité incroyable, l'atroce nouvelle s'était déj
Le regard de Prada chercha de nouveau celui de Pierre, s'appuya si lourd, si chargé d'une ardente supplication, que le prêtre en fut remué profondément. Il venait de se rappeler l'angoisse de cet homme pendant le bal, l'atroce torture jalouse qu'il avait subie, avant de laisser au destin le soin de sa vengeance. Et il reconstituait ce qui avait dû se passer au fond de lui, ensuite, après l'effroyable dénouement: d'abord, la stupeur de cette rudesse du destin, de cette vengeance qu'il n'avait pas demandée si féroce; puis, le calme glacé du beau joueur qui attend les événements, lisant les journaux, n'ayant d'autre remords que celui du capitaine
Marius, avez-vous vu quel regard il nous a lancé en sortant? Je l'ai vu, répondit M. de Trégars. Cet homme nous hait. Il ne reculerait pas devant un crime pour se venger de l'atroce humiliation qu'il vient de subir. Je le crois comme vous. Mlle Gilberte eut un geste désolé. Pourquoi l'avoir traité si cruellement? murmura-t-elle. Je m'étais promis et il eût été politique de rester calme.
À ces paroles, dont l'horreur contrastait avec la tranquillité effrayante et l'atroce gaieté de celui qui les prononçait, le lecteur a peut-etre dèja deviné quel est l'habitant de la tour de Vygla.
Je l'ai laissé, dit-il, blâmant tout, déplorant avec raison tout ce qui se passe, et s'étonnant qu'on pût se distraire un instant des malheurs qui accablent nous et notre pays. Et je le trouve aujourd'hui gai, plein d'espoir, et prédisant la fin prochaine de l'atroce révolution, qui nous ruine, les succès de l'armée de Condé, et notre prochaine rentrée en France; pourtant les nouvelles de Paris sont affreuses. On s'apprête
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