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Mis à jour: 26 mai 2025
«On te verra avec plaisir accepter cet emploi, me dit-il; parce que la chose qu'on craint le plus ici, c'est la ferveur et l'ascétisme. Tout ce qui peut détourner l'intelligence de son véritable but et l'appliquer aux choses matérielles est encouragé par le Prieur. Il m'a proposé cent fois de m'adjoindre un disciple, et, craignant de trouver un espion et un traître dans les sujets qu'on me présentait, j'ai toujours refusé sous divers prétextes. On a voulu une fois me contraindre en ce point; j'ai déclaré que je ne m'occuperais plus de science et que j'abandonnerais l'observatoire si on ne me laissait vivre seul et
Quoi! dit-il, vous aussi, ma soeur? Quoi! moi aussi? Que voulez-vous dire? C'est donc un contact maudit pour notre famille que celui des Bourbons? s'écria-t-il; vous vous croyez forcée de faire des voeux! vous! religieuse par goût, par âme; vous, la moins mondaine des femmes et la moins capable d'obéissance éternelle aux lois de l'ascétisme! Voyons, que reprochez-vous
Paphnuce sanctifiait ses heures par l'enseignement de ses disciples et les pratiques de l'ascétisme. Souvent aussi, il méditait sur les livres sacrés pour y trouver des allégories. C'est pourquoi, jeune encore d'âge, il abondait en mérites. Les diables qui livrent de si rudes assauts aux bons anachorètes n'osaient s'approcher de lui.
La vie normale de ses disciples est l'ascétisme et la mendicité. Ses conditions premières sont, comme dans l'Inde, la continence, la pauvreté, l'humilité; suivent l'abstraction du monde, l'amour de toutes les créatures vivantes, la pratique de certains préceptes moraux, et de nombreuses cérémonies rituelles.
Le comte Christian était partagé entre le désir d'accepter l'ascétisme un peu tourné au merveilleux de sa bonne soeur, et le respect que lui imposait l'orthodoxie méticuleuse et prudente de son confesseur. Il crut détourner la conversation en parlant de la Porporina, et en louant le maintien charmant de cette jeune personne. La chanoinesse, qui l'aimait déj
Et puis il y a, malgré tout, même dans les maximes extrêmes du détachement ascétique, un point par où elles restent humaines. Parmi les choses qu'elles réprouvent, il en est quelques-unes dont nous aimons qu'on se détache et dont il nous plaît de paraître détachés. L'ascétisme, en même temps qu'il heurte plusieurs de nos sentiments naturels, flatte nos instincts de justice et nos révoltes contre le monde tel qu'il est. L'ascète est moins mal venu
Miraculeusement édulcoré, l'ascétisme ancien s'assimila tous les sucres et tous les onguents pour se faire pardonner de ne pas être précisément la volupté et devint, dans une religion de tolérance, cette chose plausible qu'on pourrait nommer le catinisme de la piété. Saint François de Sales apparut, en ces temps-l
Avec la décroissance de l'influence chrétienne, la première étape de l'ascétisme est devenue un gîte de moins en moins fréquenté et l'ascétisme, devenu également rare, est souvent atteint par une autre voie. De notre temps, l'idée d'amour s'est rejointe très étroitement
De même, dans l'empire romain, si l'on peut comparer les petites choses aux grandes, un sensualisme grossier produisit l'ascétisme.
On y trouve mêlés le réalisme et l'idéalisme. C'est la description outrée et complaisante des plus désolants détails de la réalité physique, et c'est, dans le même moment, la traduction épurée des idées et des croyances qui dépassent le plus l'impression immédiate que font sur nous les corps. C'est l'union de la sensualité la plus profonde et de l'ascétisme chrétien. «Dégoût de la vie, extase de la vie», écrit quelque part Baudelaire. On raffine sur les sensations; on en crée presque de nouvelles par l'attention et par la volonté; on saisit des rapports subtils entre celles de la vue, celles de l'ouïe, celles de l'odorat (ces dernières surtout ont été recherchées de Baudelaire); on se délecte du monde matériel, et, en même temps, on le juge vain, ou abominable. C'est encore, en amour, l'alliance du mépris et de l'adoration de la femme, et aussi de la volupté charnelle et du mysticisme. On considère la femme comme une esclave, comme une bête, ou comme une simple pile électrique, et cependant on lui adresse les mêmes hommages, les mêmes prières qu'
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