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Mis à jour: 6 juin 2025


«À merveille! s'écria Athos, vous êtes le roi des poètes; mon cher Aramis, vous parlez comme l'Apocalypse et vous êtes vrai comme l'évangile. Il ne vous reste maintenant que l'adresse

«Ciel nouveau et nouvelle terreC'est ainsi que le grand captif de Pathmos, l'aigle des évangélistes, annonce la fin des temps, au chapitre vingt-unième de l'Apocalypse, cette vision grandiose qui s'achève dans l'Hosannah de la «Jérusalem nouvelle, la cité sainte, descendant des hauteurs célestes, comme une fiancée parée pour son époux».

La grande théorie de l'apocalypse du Fils de l'homme est en effet réservée, dans les synoptiques, pour les chapitres qui précèdent le récit de la passion. Les premières prédications, surtout dans Matthieu, sont toutes morales. Matth., XIII, 54 et suiv.; Marc, VI, 2 et suiv.; Jean, VI, 42.

Ils sont bien loin de nous, ces pays de l'apocalypse; car nous sommes dans la Mer De Corail, sur l'autre face du monde, et il n'y a rien ici que le cercle immense, le miroir illimité des eaux....

Le facit indignatio remplace les Gracques. Sous les Césars il y a l'exilé de Syène; il y a aussi l'homme des Annales. Nous ne parlons pas de l'immense exilé de Pathmos qui, lui aussi, accable le monde réel d'une protestation au nom du monde idéal, fait de la vision une satire énorme, et jette sur Rome-Ninive, sur Rome-Babylone, sur Rome-Sodome, la flamboyante réverbération de l'Apocalypse.

Perdu dans la demi-obscurité de cette chapelle noyée de prières, le dolent ravagé de l'amour terrestre voyait passer devant lui l'apocalypse du grand combat pour la vie éternelle. Le monde des âmes se mouvait devant lui comme l'Océan d'Homère aux bruits sans nombre.

Et quand j'eus suffisamment admiré la foule innombrable, abaissant les yeux, je vis sur l'aire de la cour un pauvre âne plus maigre, plus décharné que le coursier fantôme de l'Apocalypse, la paupière demi-close, les oreilles pendantes. C'est lui qui devait commencer la bataille. «Faut-il que les gens soient bêtesme dis-je en moi-même.

Arrive Saint-Victor, qui se laisse tomber sur une chaise, et s'exclame, comme sous le coup d'une vision terrifiante: L'Apocalypse... les chevaux pâles! Nefftzer, du Mesnil, Berthelot, etc., etc., se succèdent, et l'on dîne dans la désolation des paroles des uns et des autres.

Vous pouvez vous rassurer, Jahel, dit-il; du train dont nous allons, cette antique calèche, traînée par les chevaux de l'Apocalypse, ne nous rattrapera pas. Nous allons comme chats sur braise, dit l'abbé. Pourvu que cela dure! dit Jahel.

Nos principes de science positive sont blessés de la part de rêves que renfermait le programme de Jésus. Nous savons l'histoire de la terre; les révolutions cosmiques du genre de celle qu'attendait Jésus ne se produisent que par des causes géologiques ou astronomiques, dont on n'a jamais constaté le lien avec les choses morales. Mais, pour être juste envers les grands créateurs, il ne faut pas s'arrêter aux préjugés qu'ils ont pu partager. Colomb a découvert l'Amérique en partant d'idées fort erronées; Newton croyait sa folle explication de l'Apocalypse aussi certaine que son système du monde. Mettra-t-on tel homme médiocre de notre temps au-dessus d'un François d'Assise, d'un saint Bernard, d'une Jeanne d'Arc, d'un Luther, parce qu'il est exempt des erreurs que ces derniers ont professées? Voudrait-on mesurer les hommes

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