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Mis à jour: 25 mai 2025


Villers-Cotterets, chef-lieu de canton de l'Aisne. Au XIIIe siècle, Charles de Valois y possédait un château, qui fut détruit pendant la guerre de Cent ans. François Ier en fit construire un autre,

Ce couvent avait été fondé auprès de Soissons, sur la rive droite de l'Aisne, par le roi Clotaire I. La mission des moines était de desservir l'église les restes de ce prince furent longtemps déposés près de ceux de saint Médard, premier évêque de Noyon, apôtre de ces contrées. C'était un monastère considérable et respecté, investi de grands privilèges. L'abbé qui se nommait Geoffroi et qui était un homme instruit et distingué, traita son captif ou plutôt son hôte avec de grands égards; et les moines, espérant le garder longtemps, l'accueillirent avec beaucoup d'empressement, et s'efforcèrent de le consoler par mille soins; mais nulle consolation n'était possible. Rien au monde ne pouvait rendre au triste Abélard ce qui venait de lui échapper. La dernière, la plus puissante et la plus vieille de ses illusions était évanouie: un pouvoir s'était rencontré qui ne pliait pas devant lui. La vérité et l'éloquence avaient été vaincues dans sa personne, et l'ascendant de son génie était méconnu. Pour la première fois, il sentait sa faiblesse et presque son déclin. On ne peut peindre son désespoir. Passant de l'abattement

La ville de Soissons était armée de vingt pièces de canon et en état de se défendre. Le duc de Raguse et le duc de Trévise se portèrent sur cette ville pour y passer l'Aisne, tandis que l'empereur marchait sur Mezy. L'armée ennemie était dans la position la plus dangereuse; mais le général qui commandait

Sainte-Menehould, marchait Dumouriez, est placé sur l'Aisne, l'une des deux rivières qui entouraient le camp de Grand-Pré. Dumouriez devait donc en remonter le cours, et, avant d'y parvenir, il avait

L'ennemi cependant effectua son passage de l'Ourcq et continua sa retraite par la chaussée de Soissons. Sa position devenait très-critique. Dépourvu d'équipages de pont, l'Aisne n'ayant de pont dans cette partie de son cours qu'

Inutile, citoyen général, dit Jacques Mérey. Pourquoi inutile? demanda Dumouriez. Mais parce que je suis de Stenay, parce que pendant dix ans j'ai herborisé, chassé et pêché même dans la forêt d'Argonne, qui est en quelque sorte enfermée par deux rivières, l'Oise et l'Aisne, et que je connais ma forêt mieux qu'aucun garde. Alors, dit Dumouriez, le citoyen Danton nous a rendu un double service.

Il sortira, dit-il, hors de vostre heritage, Si tost que par un ample & constant tesmoignage Il sçaura plainement que vous estes l'aisné De la sage Ursinie & du grand Prytané, Vous aurez cependant deux places en Sicile, Et luy pour sa prison, mon Palais & ma Ville: Mais touchant cette debte, il faudra s'il vous plaist Prendre le principal, & donner l'interest: LEPANTE.

C'est ainsi que, le 30 juin, une trombe d'une violence inouïe a dévasté les départements de l'Aisne et des Ardennes, sur un parcours de 80 kilomètres, causant pour une vingtaine de millions de dégâts. Un exemple entre les plus saisissants pourra, surtout avec un document photographique

La grosse action se déroule sur l'Aisne et dure, maintenant, depuis plus de huit jours. Nous conquérons le terrain pied

Cette disposition singulière des armées révèle que, sur cette extrême aile gauche, non loin de la plaine Faidherbe remporta sa victoire de Bapaume, la lutte se poursuit avec acharnement. Ce n'est plus la bataille de l'Aisne qui s'y poursuit, mais la bataille de la Somme. [Illustration: LES D

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