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Mis à jour: 11 juin 2025


Au pied des fortifications, la mer gémissait son long et solennel gémissement, que venait parfois déchirer une dissonance lugubre. C'était l'aboiement si lamentable d'un chien enfermé dans une cour. Paisible, d'ailleurs, paraissait la ville. Le sommeil y avait suspendu les agitations du jour.

Il reprit sa marche, en dirigeant ses pas du côté de la Garenne. Quelle belle soirée, claire, calme, silencieuse! pas un souffle de vent pour agiter les feuilles, rien que les sonnettes monotones des agneaux qui tintaient dans la campagne, et, par intervalles, le beuglement lointain du bétail ou l'aboiement des chiens du village. Le ciel était rayonnant de la gloire adoucie d'un soleil couchant; sur la terre, comme dans l'air, régnait un profond repos. Telle était l'heure

Deux ou trois coups vigoureusement frappés avec le marteau de fer de l'épaisse porte cochère retentirent dans la maison. L'aboiement des chiens de garde répondit

Ce n'est point l'aboiement d'un chien qui chasse, dit Laïza, c'est le hurlement d'un chien qui cherche son maître. Les démons auront trouvé dans quelque case de nègre un chien

C'est sans doute cette circonstance qui a inspiré le refrain d'un sonn satyrique de la Cornouaille, qui imite l'aboiement des chiens. Voici la traduction du dernier couplet: Le tailleur, quand il sera enterré, Ne sera pas mis en terre bénite; Mais il sera mis au bout de la maison, Pour que les chiens aillent pisser sur lui.

Pendant qu'il parlait, l'aboiement perçant, féroce des mâtins, se fit entendre de nouveau, clair, âpre, dans l'air de la nuit. Il montait, passant du grondement sourd, bas, au coup de voix aigu et furieux. On eut cru saisir une vibration, joyeuse au plus haut point, dans leur cri farouche, comme s'ils croyaient leur proie prête

»Je montrai aussi une qualité dont on me tint compte. Je n'aboyai jamais et ne mordis jamais personne. L'aboiement est une menace et une injure. J'étais trop intelligent pour ne pas comprendre que les personnes saluées et accueillies par mes maîtres devaient être reçues poliment par moi, et, quant aux démonstrations de tendresse et de joie qui signalaient le retour d'un ancien ami, j'y étais fort attentif. Dès lors, je lui témoignais ma sympathie par des caresses. Je faisais mieux encore, je guettais le réveil de ces hôtes aimés, pour leur faire les honneurs de la maison et du jardin. Je les promenais ainsi avec courtoisie jusqu'

Dans leurs excursions pédestres, les deux amis emmenaient souvent Aimée, qui allongeait bravement le pas. Munie d'un crayon et d'un album, elle dessinait les points de vue que peignait Bouchot, car l'artiste ne négligeait aucune occasion d'exercer son pinceau. On buvait du cidre au cabaret, on déjeunait dans les bois, on gagnait une ferme pour s'abriter contre une ondée ou goûter au lait pur. Bouchot, pour se délasser, agaçait les dindons, les canards, les oies, imitait l'aboiement du chien

Je compris vaguement et je gagnai, plus tôt que d'habitude, ma chambre, l'une des trois chambres qui donnaient sur le jardin d'En-Face. Ayant éteint ma lampe, j'ouvris ma fenêtre pour guetter, au bout d'un jardin violacé de lune, la maison mystérieuse qui tenait clos tous ses volets. J'écoutai, comprimant mon coeur battant contre l'appui de la fenêtre. La nuit villageoise imposait son silence et je n'entendis que l'aboiement d'un chien, les griffes d'un chat qui lacéraient l'écorce d'un arbre. Puis une ombre en peignoir blanc ma mère traversa la rue, entra dans le jardin d'En-Face. Je la vis lever la tête, mesurer du regard le mur mitoyen comme si elle espérait le franchir. Puis elle alla et vint dans la courte allée du milieu, cassa machinalement un petit rameau de laurier odorant qu'elle froissa. Sous la lumière froide de la pleine lune, aucun de ses gestes ne m'échappait. Immobile, la face vers le ciel, elle écoutait, elle attendait. Un cri long, aérien, affaibli par la distance et les clôtures, lui parvint en même temps qu'

... Dans la Haute-Egypte, c'est encore la voix de Flaubert par la nuit noire comme un four, entre des maisons basses, au milieu de l'aboiement des chiens qui veulent vous dévorer, on vous mène

Mot du Jour

detto

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