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Mis à jour: 9 mai 2025


Parle, ne joue pas avec nous comme un cougouar avec une souris. Mes enfants, cette guenon Pehuenche c'était... C'était. Neham-Outah. Sanchez aurait pu parler longtemps sans être interrompu par ses frères, tant cette nouvelle les avait atterrés. Malédiction, s'écria enfin Julian. Mais comment le sais tu? demanda Quinto.

La vieille Indienne Pehuenche, qui, ce soir, a traversé la plaine sur un mauvais cheval et vous a demandé le chemin de Carmen, dit Sanchez en répétant par raillerie les mots de Julian, savez-vous ce que c'est? Malepeste! une atroce guenon dont la figure effroyable épouvanterait le diable. Ah! vous croyez? Eh bien! vous n'y êtes pas le moins du monde.

Malgré la gravité des circonstances et l'anxiété des auditeurs, ils sourirent de la singulière argumentation de Julian. Expliquez-vous, lui dit le gouverneur.

Julian et Quinto, assis devant un feu de bruyère fumaient silencieusement leur pipe en regardant rôtir un quartier de guanaco. Ils saluèrent les arrivants et restèrent muets comme des Indiens, dont ils avaient pris les moeurs dans la vie nomade de la Pampa. Sanchez conduisit les deux femmes dans un compartiment isolé.

Le 5 mai, au point du jour, une compagnie de voltigeurs se glissa parmi les saules et les roseaux, franchit sans bruit le marais, et, se passant des fascines de main en main, combla les mauvais pas, dont le nombre était infiniment moins considérable qu'on ne l'avait présumé. Don Julian et ses guérillas, se croyant

Après avoir mentionné un fait aussi glorieux pour les militaires français, je crois devoir en rapporter un autre qui n'honore pas moins les Espagnols. Le guérillero don Julian Sanchez, s'étant volontairement enfermé dans Ciudad-Rodrigo avec les 200 cavaliers de sa troupe, y rendit de grands services, en faisant de fréquentes attaques sur les points opposés de nos tranchées.

Quinto et Julian soulevèrent don Juan par les pieds et par la tête et, avec des précautions infinies, le transportèrent, de la forteresse improvisée il avait si longtemps combattu, auprès de l'un des feux, sur un lit de feuilles préparé par Simon. Canario! s'écria Sanchez

Puis, lorsque le manque de fourrages rendit la présence de 200 chevaux embarrassante pour la garnison, Julian, par une nuit obscure, sortit silencieusement de la ville avec ses lanciers, et, traversant le pont de l'Agueda, dont les troupes du maréchal Ney avaient négligé de barricader les avenues, il tomba sur nos postes, tua plusieurs hommes, perça notre ligne et alla rejoindre l'armée anglaise.

Le senor capataz don José Diaz. Eh! mais, s'écria José lui-même, c'est Sanchez. Oui, oui, don José dis Sanchez, et je vous ai tout de suite reconnu; mais la consigne est la consigne. Voici mon frère Julian pour vous servir. Comme nous l'avons déj

Eh bien! Julian, dit une voix, l'a-t-on trouvé? Oui, répondit-il, mais il parait mort. Caraï! ce serait dommage reprit Sanchez, car c'est un fier homme. est-il? L

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