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Mis à jour: 20 mai 2025
J'ai recueilli avec zèle les propos de mon bon maître, M. l'abbé Jérôme Coignard, qui périt comme je viens de le dire. C'était un homme plein de science et de piété. S'il avait eu l'âme moins inquiète, il aurait égalé en vertu M. l'abbé Rollin, qu'il surpassait de beaucoup par l'étendue du savoir et la profondeur de l'intelligence. Il eut du moins, dans les agitations d'une vie troublée, l'avantage sur M. Rollin de ne point tomber dans le jansénisme. Car la solidité de son esprit ne se laissait point ébranler par la violence des doctrines téméraires, et je puis attester devant Dieu la pureté de sa foi. Il avait une grande connaissance du monde, acquise dans la fréquentation de toutes sortes de compagnies. Cette expérience l'aurait beaucoup servi dans les histoires romaines qu'il aurait sans doute composées,
Mémoires sur la vie de M. de Laval. «Au milieu des factions du calvinisme et des querelles du Jansénisme, dit l'auteur du siècle de Louis XIV, il y eut encore une division en France sur le Quiétisme. C'était une suite malheureuse des progrès de l'esprit humain dans le siècle de ce monarque, que l'on s'efforçât de passer presqu'en tout les bornes prescrites
Hélas! il ne me reste que le sombre abbé Pirard... Son esprit est rétréci par le jansénisme... Un coquin de jésuite connaîtrait le monde, et serait mieux mon fait... M. Pirard est capable de me battre, au seul énoncé du crime."
Un petit séminariste tout jeune, natif de Verrières, et qui dès le premier jour, s'était déclaré son ami, lui apprit que s'il eût choisi M. Castanède, le sous-directeur du séminaire, il eût peut-être agi avec plus de prudence. L'abbé Castanède est l'ennemi de M. Pirard qu'on soupçonne de jansénisme, ajouta le petit séminariste en se penchant vers son oreille.
Les Génovéfains étaient justement renommés pour leur savoir, leurs travaux théologiques, leur piété et leur penchant pour les doctrines du jansénisme. C'est auprès d'eux que se retira le duc d'Orléans, fils du régent, pour s'y occuper d'ouvrages de controverse et de pratiques religieuses.
«Les querelles du jansénisme furent terminées par un ouvrage intitulé: Corps de doctrine, adopté, en 1720, par l'Assemblée du clergé de France. Je ne sache pas que cet ouvrage contienne un nouveau formulaire. On le vérifierait en se reportant aux procès-verbaux de l'Assemblée du clergé
Un prêtre du diocèse d'Orléans s'était rendu célèbre par son humeur frondeuse et son caractère difficile. Il avait dans plusieurs paroisses apporté la discorde et le trouble; suspect, de plus, de jansénisme et condamné par son évêque, il était tombé dans la pauvreté. Le bon diacre lui offrit l'hospitalité avec l'injonction formelle de tout observer dans la maison et d'étudier, sans craindre l'indiscrétion, les imperfections et les péchés de son hôte. Pâris couchait sans draps et vivait de légumes. En échange de cette maigre chère, la tâche imposée
Chauvelin tenait pour le parlement, qui était le centre du jansénisme. Chauvelin ministre, le public était assuré qu'on n'enlèverait pas au parlement la connaissance des affaires ecclésiastiques pour les attribuer
On voyait que le levain du jansénisme, qui parfois germe au cœur de nos curés vieillissants n'était pas mieux amorti encore dans le sien que le péché gallican.
Le grand critique Fréret, ayant touché l'histoire de France, avait tâté de la Bastille. Il se le tint pour dît, s'écarta, au plus loin, dans la chronologie chinoise, etc. En 1728, l'essor du jansénisme aigrit cruellement la Police. Contre la librairie, l'imprimerie, elle s'arma d'une atroce ordonnance. Pour une page non autorisée, confiscation, carcan, galères!
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