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ROXANE. Ton pauvre enfant!... Oui, c'est un ange au ciel et un malheureux de moins sur la terre!... Mais... qu'est-ce que j'entends donc? les bleus font l'exercice

«J'entends la voiture qui revient», murmura tout

La soeur Sainte-Thérèse... J'entends. Je suis très-mécontente d'elle; mais Sainte-Suzanne intercède pour elle, et je lui pardonne; allez lui dire qu'elle peut entrer

Mais il tenait toujours ma main, et je ne pouvais partir. Je pris un expédient. «Il me semble, monsieur, dis-je, que j'entends remuer Mme Fairfax. Alors, quittez-moiIl lâcha ma main et je partis.

J'entends l'objection: «Vous voulez démontrer que les Flamands, artistes ou écrivains, ne peuvent se passer de la culture latine. Cependant, au XVe siècle, les primitifs flamands, les Memling, les Van Eyck, ont trouvé en eux-mêmes toutes leurs ressources, tous leurs trésors. Bien plus, ce sont eux qui influencèrent certains peintres italiens, espagnols, ou de l'école d'Avignon...» Assurément, mais au XVe siècle, tandis que Memling et Van Eyck travaillaient

J'entends... cela se comprend. Mais encore? De bonnes excuses. Mais enfin,

Ce sonnet a deux parties principales: dans la première, j'entends appeler les fidèles de l'Amour par ces paroles du prophète Jérémie: O vos omnes qui transitis per viam, attendite et videte si est dolor sicut dolor meus , et les prier de vouloir bien m'entendre. Dans la deuxième partie je raconte m'avait mis l'Amour, dans un sens autre que celui que montrent les dernières parties du sonnet, et je dis ce que j'ai perdu. Cette seconde partie commence

Cela, je n'en sais rien, répondit gaiement madame de Beuvre; je n'ai point d'expérience et ne connais pas le coeur des hommes. Mais j'entends quelquefois dire qu'il en est ainsi, et M. de Bois-Doré semble en être persuadé. Que vous en semble,

À tout prendre pourtant, il y a du faire dans la manière de M. de Chateaubriand, comme il y en a dans toute la littérature actuelle. L'effet, et même le prestige, sont cherchés jusque dans les écrits les plus simples; cette recherche est avouée, et c'est la seule ingénuité qui nous reste. Il y avait, chez les écrivains du grand siècle, plus d'art que chez les nôtres, et moins d'artifice. Les plus grandes beautés de nos écrits sont plus ou moins des beautés faites; et puisque néanmoins, je les appelle beautés, j'entends bien que la nature y a sa part, et qu'il ne s'y trouve ni faux ni affectation. Mais enfin, et cela était inévitable, nous sommes dès longtemps, sous le rapport du style, sortis de l'âge d'innocence; et la simplicité d'intention n'est plus de notre temps. Heureux et rare est l'écrivain qui peut faire encore quelque illusion l

J'entends; mais voici ma réponse: Ce que je fus, ce que je suis, reste un mystère entre le ciel et moi. Je ne choisirai point un mortel pour médiateur. Ai-je manqué