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J'admets encore que la poésie ne requiert pas des émotions d'une intensité extrême. Trop poignantes, elles nous saisiraient avec tant de force que nous ne pourrions plus en faire un objet de contemplation, et que toute impression de beauté disparaîtrait. Nous sortirions de la poésie, pour rentier dans la vie réelle.

Mais j'admets qu'elle soit sincère dans ses lettres. C'est possible: après tout, elle avait aimé l'homme et pouvait s'en ressouvenir quelquefois; et, d'autre part, elle ne pouvait pas ne pas admirer l'empereur. Mais pourquoi ne serait-elle pas également sincère dans ses Mémoires? Je crois, d'une façon générale,

Je suis donc limité, ou modifié, et j'admets encore

« Je sais que tu es bon, et que ton coeur est plein de délicatesse... Laisse-moi donc achever. Je n'ai point peur, tu le sais. J'admets parfaitement que l'indisposition

Mous nous le sommes dit en effet. De deux choses l'une: ou je me tairai, que ferez-vous de moi? ou je crierai, et vous me tuerez... Que ferez-vous de vous? Je ne comprends pas bien, dit Crillon. Oui. Si je me tais, vous voudrez me taire signer quelque chose, ma renonciation, par exemple... J'admets que je la signe. Comment ferez-vous pour sortir du camp.

Je ne voudrais pas pour un autre royaume, répliqua le roi, être le pâté que tu rencontrerais après un tel jeûne. Mais il s'agit en ce moment, non de ton dîner, mais du mien. J'admets

J'admets tous les cas quand je les constate, répliqua Daumier. Dans la pratique, l'habitude d'un certain état de vie émousse généralement les appétits excessifs. Ceux qui décidément sont faits pour casser le moule, réussissent

L'anarchie de 1831 offrait aux conspirateurs de ces trois partis des moyens d'action et des chances de succès. Ils s'en saisirent avidement. Dans l'espace d'une année, et sans parler des tentatives insignifiantes, quatre complots républicains, deux complots légitimistes et un complot bonapartiste assaillirent le gouvernement du roi Louis Philippe. J'ai dit sans réserve ce que je pensais des complots contre la Restauration; je parlerai de ceux-ci avec la même liberté. Ils étaient parfaitement illégitimes. Ils tentaient de renverser un gouvernement accueilli et accepté avec satisfaction par l'immense majorité de la France; un gouvernement modéré et libéral, qui avait tiré le pays d'un grand péril, et qui, loin de les restreindre, étendait les libertés publiques, et se renfermait scrupuleusement dans les limites de la loi commune. Et, au terme de ces efforts de renversement, en leur supposant un moment de succès, point de résultat clair, facile ni assuré; rien qu'un redoublement de discordes civiles, des perplexités et des obscurités de plus dans les destinées de la France. J'admets que des sentiments généreux, des idées de devoir envers le passé ou envers l'avenir, se mêlaient

Soit, insista le commissaire, j'admets la complicité de M. de Thaller, mais alors il faut supposer qu'il avait sur votre père quelque tout-puissant moyen d'action.... Un directeur a toujours sur ses employés une grande influence.... Une influence qui irait jusqu'

Il faut bien vous croire, reprit M. de Rochegune avec un soupir, vous me répondez toujours ainsi quand je vous parle de M. de Lancry; mais je ne sais pourquoi il me semble que sa conduite envers vous cache quelque mystère!... Je crains que vous ne soyez pas heureuse... non, vous n'êtes pas heureuse... vous avez été dupe de votre noble cœur, comme votre mari peut-être a été dupe de ses bonnes résolutions... Pendant quelque temps j'admets qu'il se soit sincèrement repenti, mais ses anciennes habitudes auront repris le dessus, et il aura mieux aimé sans doute mener je ne sais quelle existence aventureuse que de vivre obscurément auprès de vous... Et puis... Mais, tenez, Mathilde... ne parlons plus de cela... je ne veux pas dire tout ce que je pense... je me trompe sans doute et je vous affligerais.