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Mis à jour: 31 mai 2025


Les imprimeurs sont trop modernes et vivent trop

Il entra dans des explications complaisantes. En principe, les imprimeurs ne devaient pas mettre un livre sous presse, sans en avoir au préalable soumis le manuscrit

Des tas de faubouriens endimanchés, parfois même fleurdelysés comme les bourgeois, épars dans le grand carré et dans le carré Marigny, jouaient aux bagues et tournaient sur les chevaux de bois; d'autres buvaient; quelques-uns, apprentis imprimeurs, avaient des bonnets de papier; on entendait leurs rires. Tout était radieux. C'était un temps de paix incontestable et de profonde sécurité royaliste; c'était l'époque un rapport intime et spécial du préfet de police Anglès au roi sur les faubourgs de Paris se terminait par ces lignes: «Tout bien considéré, sire, il n'y a rien

Dans la troisième journée, la conversation roule principalement sur la bourgeoisie parisienne, dont les différentes classes sont censurées avec une verve impitoyable des plus amusantes. Ce sont d'abord les gens de finance et de robe: trésoriers, greffiers, notaires et plusieurs autres; les médecins et les apothicaires viennent après eux, et ne sont pas épargnés. L'auteur trouve le moyen de faire une petite digression sur les livres et opuscules nouveaux qui se débitoient et sur les bévues commises par les imprimeurs. Il cite entre autres deux Vies de sainte Thérèse, dans l'une desquelles on fait dire

A bas les ordonnances! A bas les ministres!... firent les imprimeurs aux bonnets de papier, les noirs mécaniciens des presses. Ils commençaient

Elzevir (rue): Ce nom fut rendu célèbre par plusieurs imprimeurs du XVIe et du XVIIe siècle établis

La «Vie sainte Katherine», comme on appelait en raccourci le Discours merveilleux, eut un très grand succès. Les imprimeurs de Lyon, alors capitale de la librairie, avaient, pour suffire

Un autre mai des imprimeurs était un placard en vers, assez médiocrement payé sans doute

Les imprimeurs de Paris et ceux des autres villes de France avaient, dit l'Histoire de l'Imprimeur, la permission de se réunir aux jours de fêtes solennelles et religieuses sous la bannière de Saint-Jean-Porte-Latine. À ce patron orthodoxe, les imprimeurs de Lyon en joignaient un burlesque, dont ils célébraient non moins exactement la fête: c'était le momon ou mannequin bizarre qu'ils appelaient le seigneur de la Coquille, et qui n'était sans doute autre chose que la très étrange personnification des fautes typographiques ou coquilles. S'il en était ainsi, l'impénitence des imprimeurs

Eh bien non! je n'ai pas lâché prise encore! et dans ce quartier d'imprimerie j'ai rôdé, rôdé, comme le jour je cherchais Torchonette. J'ai attendu devant les portes, les pieds dans le ruisseau; dans les escaliers, le nez contre les murs; il a fallu que deux patrons imprimeurs m'entendissent!

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