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Mis à jour: 27 juin 2025


Galeotto se troubla. «M'avez-vous entendue? répéta la princesseAlors, prenant courage, Galeotto imagina de lire hardiment la lettre d'un ton pathétique et en feignant un trouble toujours croissant. C'était une déclaration d'amour du comte de Steinach, rédigée dans des termes aussi passionnés que son rang avait pu le lui permettre.

Dois-je appeler? Paul, qui agonisait en silence, ne put que lui faire un signe impérieux de s'abstenir. Charaintru imagina qu'il venait et cette fois sans le vouloir, de mettre encore les pieds dans le plat.

Paul III, qui m'accablait de commandes de toute espèce, ne me les payait pas mieux que son prédécesseur; seulement, pour mettre en apparence les torts de mon côté, il imagina un expédient digne de lui et vraiment atroce. Les ennemis que j'avais en grand nombre autour de Sa Sainteté, m'accusent un jour auprès d'elle d'avoir volé des bijoux

D'ailleurs, s'il faut tout dire, quand Murat imagina,

Dupuis-Delcourt avait autrefois occupé de lui le monde littéraire et le monde scientifique. Mais les quelques succès qu'il avait obtenus comme auteur dramatique n'avaient jamais pu le détourner de sa passion dominante: l'Aérostation. Il avait connu J. Montgolfier et aussi le physicien Charles qui imagina le premier de gonfler les ballons au gaz hydrogène.

L'un d'eux racontait bruyamment une histoire de femme qu'on entendait par bribes: "... Je lui ai dit... Vous devez bien me connaître... Je fais la partie avec votre mari tous les soirs!" Les autres riaient et, détournant la tête, crachaient derrière les banquettes. Hâve et poussiéreux, Meaulnes les regardait comme un mendiant. Il les imagina tenant Valentine sur leurs genoux.

C'est Gribouille qui, des premiers, imagina de se frotter les pieds et les mains avec de la neige pour n'avoir point d'engelures. C'est lui qui donnait les jouets qu'il aimait le plus aux enfants qu'il aimait le moins, et, quand on lui demandait pourquoi il agissait ainsi, il répondait que c'était pour venir

«C'était au château de Clichy Mme Récamier passait l'été: La Harpe y était venu pour quelques jours. On se demandait (ce que tout le monde se demandait alors) si sa conversion était aussi sincère qu'il le faisait paraître, et on résolut de l'éprouver. C'était le temps des mystifications, et on en imagina une qui parut de bonne guerre

Je me trouvais il y a quelques années dans une des plus grandes villes de Lombardie. Des amateurs riches, qui y avaient établi un théâtre bourgeois, monté avec le plus grand luxe, eurent l'idée de célébrer l'arrivée dans leurs murs, de la princesse Béatrix d'Este, belle-mère de l'empereur François. Ils firent composer, en son honneur, un opéra entièrement nouveau, paroles et musique; c'est le plus grand honneur qu'on puisse rendre en Italie. Le poëte imagina d'arranger en opéra une comédie de Goldoni, intitulée Torquato Tasso. On fait la musique en huit jours, la pièce est mise en répétition, tout marche rapidement; la veille même de la représentation, le chambellan de la princesse vint dire aux citoyens distingués qui tenaient

Pour mieux savourer leur impunité, il imagina une indisposition que justifiait depuis quelque temps l'indolence de son zèle auprès du tribunal. Des jours entiers, relégués dans le crépuscule des chambres aux rideaux tirés, délicieusement énervés par la touffeur de ces atmosphères condensées (entre les joints des portes soufflaient les torrides haleines de la rue), ils s'amusaient

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