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Mis à jour: 25 septembre 2025
Dans leur grand deuil, ils sont faits comme des fous, particulièrement les premiers jours, que les laquais aussi bien que leurs maîtres ont de longs manteaux traînants, et qu'ils mettent, au lieu de chapeau, un certain bonnet de carton fort haut, couvert de crêpe. Leurs chevaux sont tout caparaçonnés de noir, avec des housses qui leur couvrent la tête et le reste du corps. Rien n'est plus laid. Leurs carrosses sont si mal drapés, que le drap qui couvre l'impériale descend jusque sur la portière. Il n'y a personne qui, en voyant ce lugubre équipage, ne croie que c'est un corps mort qu'on porte en terre. Les gens de qualité ont des manteaux d'une frise noire, fort claire et fort méchante; la moindre chose la met en pièces, et c'est le bon air, pendant le deuil, d'être tout en guenilles. J'ai vu des cavaliers qui déchiraient exprès leurs habits, et je vous assure qu'il y en a
Quand il pénétra dans la cour, où attendait tout attelé le phaéton du maître, quand il vit par les portes ouvertes des écuries et des remises les chevaux de prix piaffant dans leurs stalles et les voitures sous leurs grandes housses de toile... lorsqu'il compta les valets rangés dans le vestibule, et qu'il gravit l'escalier
Mais puisque nous sommes ici pour les nouveaux tableaux, allons les voir. Dans le Salon Carré, tenez, ce grand paysage de Poussin, on l'a acheté l'autre jour chez Dufayel. Vous vous plaignez qu'on ne distingue rien, qu'il fait trop sombre. Mais c'est toujours comme ça, au Salon Carré. Les tableaux n'y sont pas pour être vus. Ils se reposent, et, pour un peu, on leur mettrait des housses. Et ça? Ça c'est les noces de Cana, en Galilée. Beaucoup trop pour vous, n'est-ce pas; et vous préféreriez une bonbonnière comme celle qu'acheta Willy, aux Miniaturistes? Mon Dieu, l'un et l'autre sont
Le dimanche d'après, le logis Obligitte prit dès le matin un aspect vivant et hospitalier, qui ne lui était pas habituel. Madame Obligitte fit ouvrir le salon, les housses des fauteuils furent enlevées, et Véronique, aidée de sa cousine, garnit la jardinière et les vases avec les premières fleurs d'avril. Quand tout fut prêt, Adeline Obligitte jeta un coup d'œil sur le vieux salon qui avait pris un air de fête, et s'adressant
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