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Mis à jour: 21 juin 2025


Adieu, cher Hector, je t'embrasse comme je t'aime, et c'est de tout cœur, tu le sais bien; au reste, je peux te le dire, car dans notre exil

HECTOR. Je ne dois pas violer ma parole. Vous me savez soumis: ainsi, père chéri, ne me forcez pas

Bonnes et mauvaises tout ensemble: bonnes puisqu'il devrait être mort et qu'il ne l'est pas; mauvaises en ce que, pendant son évanouissement, ils lui ont volé la lettre que vous lui aviez donnée pour le citoyen Garat. Vous lui aviez donné une lettre pour moi? demanda Garat. Hector se retourna. Ah! c'est vous, monsieur, qui êtes l'ambassadeur de la République? demanda-t-il

Non, fit Hector. Deux minutes de footing nous feront du bien. Va-t'en

Mais Hector se gardait de parler de Maud. Il dissertait sur les généralités, le verbe aisé, alerte, causeur de salon et de dîner, habitué

Hector Berlioz a consacré aux Monténégrins un feuilleton des Débats, plein de sa verve habituelle (4 avril 1849). En vrai romantique qu'il était, il fit une peinture aussi brillante qu'inexacte de ce farouche pays. «L'action a lieu, dit-il, dans ces terribles montagnes des bords de l'Adriatique, les hommes passent pour être sombres et durs comme les rochers qu'ils habitent, marchent toujours armés, exècrent tout ce qui est étranger, et s'entretuent pour s'entretenir la main quand personne ne vient des pays voisins leur fournir l'occasion d'exercer leur talent sur le poignard et la carabineGérard de Nerval avait visité la Dalmatie, quelques années auparavant, mais, comme Nodier, observateur superficiel, il n'avait été frappé que des paysages. Toute sa documentation est fantaisiste, plus encore que celle de Mérimée dans la Guzla. Théophile Gautier se trompait évidemment quand il écrivait au lendemain de la représentation ces lignes stupéfiantes: Les Monténégrins pourraient,

Ce n'est pas assez, cela; ils demeureront avec nous, ils seront toujours ton père et ta mère... et figure-toi que j'étais allée avant-hier soir avec Hector pour te voir danser. Quelle providence qu'Hector ait pu te rencontrer, t'aimer! Et comme une larme,

Au moment le comte Hector et sa compagne traversaient la foule,

AJAX. Je te remercie, Hector: tu es trop franc et trop généreux. J'étais venu pour te tuer, cousin, et pour remporter, par ta mort, de nouveaux titres de gloire. HECTOR. L'admirable Néoptolème lui-même, dont la renommée montre le panache brillant, criant de sa voix éclatante: c'est lui, ne pourrait pas se promettre d'ajouter

« Chère épouse, répond Hector, toutes ces pensées étaient aussi en moi, mais j'aurais trop

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