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Mardi 10 mars. Hayashi m'apporte aujourd'hui une traduction des passages importants des MAISONS VERTES d'Outamaro. Je lui parle des biographies, avec lesquelles je voudrais faire mon art japonais du XVIIIe siècle, lui citant les noms de Ritzouo et de Gakutei.

Lundi 12 août. Hayashi est venu chez moi, et a passé la journée

De Gakutei, de l'artiste des sourimono, du dessinateur de la femme sacerdotale, Hayashi me raconte cela. C'était un littérateur, un littérateur donnant ses inspirations

Samedi 18 mai. Hayashi, qui est venu dîner chez moi, me dit que la nourriture au Japon a été de tout temps, même depuis l'introduction des boucheries, du poisson seulement, avec un rien de gibier l'été. Et parmi les poissons, il me parle de l'un d'eux, le Kouzou, poisson peu estimé, mais qui se vend très cher, le premier jour de son arrivée: ce jour-l

Dimanche 13 mai. Comme je m'extasie devant Hayashi, sur la grâce voluptueuse, qu'Outamaro, mon artiste de prédilection, a mise dans ses longues femmes, et qu'

Enfin un jour, Hayashi, en train de visiter ma collection, tirait l'écritoire d'un tiroir, et je voyais ses doigts pris d'un tremblement religieux, comme s'ils touchaient une relique, et je l'entendais, le Japonais, me dire d'une voix émotionnée: «Vous savez, vous possédez l

Comme je m'étonnais de la longévité des artistes japonais, citant Hokousaï et tant d'autres, et même le brodeur, dont il était en train de me lire la signature, sur un foukousa représentant une carpe monumentale, et que voici: «Jou-ô, âgé de 73 ans», Hayashi me disait qu'au Japon, la mortalité de 1

Ce soir, dans un coin du salon de la princesse, le Japonais Hayashi, me racontait un hara-kiri, dont son père avait été greffier, et auquel il avait assisté, tout enfant.

À déjeuner, Hayashi cause nourriture japonaise, et me cite, comme un mets délicieux: une salade de poireaux et d'huîtres. Questionné par moi sur les livres et les auteurs européens, en faveur au Japon, il me cite le CID de Corneille et les drames de Shakespeare, ayant au fond une grande parenté avec les drames héroïques du théâtre Japonais.

Condamnés sur l'avis de Hayashi Daigaku, chef des académiciens, consulté par le pouvoir exécutif, les quarante-sept ronins s'ouvraient le ventre, et enterrés autour du corps de leur maître, la sépulture du prince d'Akô et de ses fidèles serviteurs devenait un lieu de pèlerinage.