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Chapitre III. Personnages merveilleux des contes indigènes. 1° Personnages merveilleux. La divinité: Allah, Outênou, Ouinndé, NGouala. Potentats débonnaires Les «guinné». Pourquoi on a diversifié leurs appellations génériques. Différence avec les djinns arabes. Mélange du génie africain et du démon sémite. Répugnance des noirs

Il suit que les idées des choses non sensibles peuvent se diviser ainsi: 1° Idées d'êtres déterminés et substantiels, inaccessibles aux sens, Dieu, une âme, etc. 2° Idées de choses inaccessibles aux sens, mais qui ne sont pas aussi nécessairement conçues comme des substances, force, cause, nature, essence, etc. 3° Idées de touts dont quelques parties ou quelques propriétés seulement sont accessibles aux sens, le ciel, l'espace, le monde, etc. 4° Idées de collections ou de touts partiels dont les éléments individuels ne sont pas tous perçus, le plus grand nombre en étant seulement conçu, règne inorganique, système des plantes, etc. 5° Idées des collections fondées sur une essence commune ou plutôt idées d'essences génériques ou spéciales; c'est proprement l'idée de genre et d'espèce. 6° Idées de qualités ou modes plus ou moins voisins ou éloignés des attributs essentiels; ce sont les idées abstraites proprement dites.

SOMMAIRE: Personnages merveilleux des contes indigènes. 1° Personnages merveilleux. La divinité: Allah, Outônou, Ouinndé, Ngouala. Potentats débonnaires: les «guinné». Pourquoi on a diversifié leurs appellations génériques. Différence avec les djinns arabes. Mélange du génie africain et du démon sémite. Répugnance des noirs

J'ai choisi cet exemple parce que l'explication qu'en donneraient la plupart des naturalistes ne pourrait pas s'appliquer ici; ils soutiendraient, en effet, que les caractères spécifiques sont plus variables que les caractères génériques, parce que les premiers impliquent des parties ayant une importance physiologique moindre que ceux que l'on considère ordinairement quand il s'agit de classer un genre. Je crois que cette explication est vraie en partie, mais seulement de façon indirecte; j'aurai, d'ailleurs,

Effets du changement des conditions. Usage et non-usage des parties combinées avec la sélection naturelle; organes du vol et de la vue. Acclimatation. Variations corrélatives. Compensation et économie de croissance. Fausses corrélations. Les organismes inférieurs multiples et rudimentaires sont variables. Les parties développées de façon extraordinaire sont très variables; les caractères spécifiques sont plus variables que les caractères génériques; les caractères sexuels secondaires sont très variables. Les espèces du même genre varient d'une manière analogue. Retour

Les peuples démocratiques aiment passionnément les termes génériques et les mots abstraits, parce que ces expressions agrandissent la pensée et permettant de renfermer en peu d'espace beaucoup d'objets, aident le travail de l'intelligence.

L'extrait qu'on vient de lire contient une polémique assez vive contre la théorie générale de l'existence propre des essences génériques ou spéciales, distinctes des individus et cependant résidant identiquement et intégralement dans les individus. La pensée principale d'Abélard, c'est que cette théorie établit, entre les éléments constituants des êtres, des rapports qui ne rentrent plus dans les cadres de l'ontologie logique; ils ne sont plus, en effet, matière et forme, genre et différence. Ou bien il faut admettre des essences hiérarchiques, entre lesquelles, du moment qu'on les tient pour réelles et subsistantes, on ne sait plus quelles relations assigner, car est le rapport ontologique possible entre une substance universelle et une substance individuelle? Ou bien il faut n'attribuer l'être proprement dit qu'aux substances universelles et réduire les différences tant spécifiques qu'individuelles

La distribution des nervures, les cellules qu'elles forment, ont dès longtemps été employées dans la classification comme caractères génériques. Nous n'aurons garde d'exposer ici la terminologie passablement compliquée créée

S'il est quelque chose qui distingue les langues américaines, c'est le mode synthétique. L'Indien ne sépare pas les parties constituantes de la proposition qu'il énonce; il n'analyse jamais; ses pensées sont exprimées par groupes et font de suite un tableau parfait. L'absence de toute raison réfléchie, de toute analyse logique d'idées, forme le grand trait caractéristique des idiomes sauvages . Toutes les expressions doivent être définies, et les Algonquins ni les Iroquois, ne peuvent dire père, sans ajouter le pronom, mon, notre, votre père, etc,. Ils ont très peu de termes génériques. Chaque chose est désignée par un nom propre; ils n'ont pas de mots pour indiquer l'espèce, mais l'individu. Ils disent bien un chêne blanc, rouge; mais ils n'ont pas de terme pour exprimer simplement un chêne. Ils en ont une foule pour exprimer la même action modifiée par le changement d'objet. De l

Nous pouvons, tout au moins, en conclure que la diversité de structure, arrivée au point de constituer de nouvelles différences génériques, leur serait d'un grand profit.