Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 2 juillet 2025
[Note 63: Le maréchal de Grammont étoit fils d'Antoine II de Grammont, comte de Guiche et de Louvigny, prince souverain de Bidache, duc
Comme toujours, il y avait de nombreux carrosses stationnant aux abords de l'hôtel de Choiseul, qui existe encore et dont l'entrée sur la rue de Grammont donne maintenant accès, tous les soirs, aux membres d'un cercle artistique bien connu, après avoir vu passer tant de belles dames, habituées d'un illustre magasin de nouveautés.
La bataille de Lens est gagnée! dit la reine. Ils sont heureux ici, ils gagnent des batailles! Oui, le maréchal de Grammont a raison, cela va changer la face de leurs affaires; mais j'ai bien peur qu'elle ne fasse rien aux nôtres, si toutefois elle ne leur nuit pas. Cette nouvelle est récente, monsieur, continua la reine, je vous sais gré d'avoir mis cette diligence
Son père, le maréchal de Grammont, étoit un Gascon de beaucoup d'esprit et de dextérité, qui, depuis long-temps, s'étoit mis sur un pied solide
Et madame de Grammont ne figurait pas mal le dogue. Sa force et sa solidité, si déplaisante qu'elle fût, soutenait utilement ce chiffon, la Pompadour. M. de Choiseul, fort léger, avec tous ses dons séduisants, n'aurait jamais pris consistance, s'il n'avait été doublé d'une autre âme, d'un second Choiseul.
Il y avait, si j'ose dire, un peu de ce dernier dans M. de Méré. J'ai fait assez voir qu'il n'a jamais su triompher de sa roideur. Si Pétrone et le chevalier de Grammont étaient les deux héros de Saint-
M. de Guiche dédommagea la princesse par son regard plein de flammes, et Madame, il faut le dire, en relevant les paupières, le lui rendit avec usure. Il faut le dire, jamais de Guiche n'avait été si beau, le regard de Madame avait en quelque sorte illuminé le visage du fils du maréchal de Grammont.
Combinaison profonde. Le vrai chef des Choiseul, madame de Grammont, travaillant pour son frère croyant que la Lamballe ni Lauzun n'intrigueraient pour lui, désirait donner
Ils sortirent, et dès qu'ils furent dans la rue, le jeune artiste passant son bras sous celui de son compagnon, l'entraîna au pas de course dans la direction de la rue de Grammont. Je ne veux pas, disait-il, laisser le temps
Quand deux chenapans se battaient, il les payait pour qu'ils s'embrassassent. Il est vrai que ce spectacle ne lui coûtait pas bien cher. Il renouvelait ainsi l'histoire d'un de ses devanciers, le comte de Grammont, qui donna un jour vingt-quatre livres
Mot du Jour
D'autres à la Recherche