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Mis à jour: 2 juin 2025
Le centre de la vie commerciale de Tours est la rue Royale, que Loupaing s'était promis de faire débaptiser aussitôt assis au conseil. C'est une grande et belle voie qui traverse toute la ville en se prolongeant en ligne droite, sur une étendue de plusieurs kilomètres, par l'avenue de Grammont d'un côté, et de l'autre, par le pont de pierre jeté sur la Loire, et la Rampe de la Tranchée. C'est rue Royale que sont situés tous les grands cafés, les cercles, les coiffeurs, les modistes, les libraires, les marchands de musique ainsi que les dentistes et les pâtissiers, renommée de la ville. Des tramways la parcourent d'un bout
À propos de Condé, pendant la Fronde, le maréchal de Grammont ne voulut pas être contre lui. On approuva généralement sa conduite.
Avec la composition et la perspective, le ton général devait aussi changer: nouvelle conséquence, et pas des moins importantes. Si c'est bien d'Artagnan ou Grammont, Cleveland ou cet excellent doyen de Killerine qui mènent le roman, il est de toute nécessité qu'ils lui imposent leurs façons et leurs habitudes de langage; d'autant qu'ils sont toujours en scène et qu'ils nous font eux-mêmes le récit de leurs aventures. A passer par leur jugement particulier, les personnages historiques subissaient des transformations particulières:
Tallemant des Réaux (Historiette de Sarrazin) dit que madame de Longueville aima Charles de Bourdeilles, comte de Mastas en Saintonge: c'est le Matha des Mémoires de Grammont, mort en 1674. Je ne sais si on peut dire qu'elle aima son frère Conti. Celui-ci, du moins, a conçu pour elle une passion très vive. M. de Longueville,
Et en hommes: Monsieur... M. le prince... M. de Grammont... M. de Manicamp... M. de Saint- Aignan... et les officiers de service. Les ministres? dit Colbert. Cela va sans dire, et les secrétaires. Sire, je vais tout préparer: les ordres seront
Ainsi disaient nos grands-pères, sur le bord de l'abîme. On ne parle, en ces lieux paisibles, que de ballets, de comédies et d'opéras nouveaux. Mme de la Popelinière a chanté, sur le théâtre de Passy, le rôle d'Orphée (il ne s'agit pas encore du chevalier Gluck), en présence de la duchesse de Choiseul, de la duchesse de Grammont, du comte de la Marche et de l'ambassadeur d'Espagne. On a sifflé une comédie de Palissot, l'auteur des Philosophes, et la chute honteuse de Palissot a fait plaisir
Roxane; le duc de Grammont, ancien comte de Guiche, puis Le Bret et Ragueneau. LE DUC: Et vous demeurerez ici, vainement blonde, Toujours en deuil
I et IV, p. 407. Montpensier, Mémoires, t. XL, p. 174 et suiv. Motteville, Mémoires. Mémoires de Grammont, t.
M. le duc, reprit Dupleix d'un ton posé et précis, est donc encore pour une demi-heure et même un peu plus avec Mme la duchesse de Grammont, sa respectée soeur. Exact! fit Marais en a parte. Comme ils sont renseignés! N'est-ce pas aujourd'hui mercredi? demanda Dupleix? Si fait, mon oncle.
Mais, oui, c'est un rêve, au milieu de notre époque, dans le siècle des Vendôme, des Condé, des Grammont, des Courtauvaux et des Barrada, que de trouver un jeune homme de vingt-deux ans, beau, noble et amoureux... De toi? De moi? Oui, peut-être. Seulement, il en aime une autre. En vérité, tu es folle, Fargis, et je ne comprends rien
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