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Mis à jour: 7 juin 2025


Plusieurs beaux esprits de la cour composèrent, en l'honneur de ce portrait, des pièces de vers dans lesquelles, tout en louant l'artiste, ils flattaient encore plus le monarque. Pacheco rapporte ceux de don Geronimo Gonzalès de Villanueva, poëte distingué de Séville, qui fit, dans cent vingt-deux vers ampoulés, l'éloge emphatique du roi, qu'il appelle: «Copia felix de Numa o de Trajano

Le roi d'Espagne rappelait don Gonzales de Cordoue et mettait

Eva Gonzalès avait été représentée par Manet de grandeur naturelle, assise devant un chevalet, peignant un bouquet de fleurs, vêtue d'une robe blanche: le fond était en gris clair et par terre s'étendait un tapis bleu azur. Le tableau se trouvait donc exécuté en pleine clarté, les couleurs diverses s'y trouvaient juxtaposées, comme toujours, sans transition et sans atténuation de demi-tons. Aussi cet arrangement offusquait-il; les visiteurs le déclaraient brutal et criard. Il fallait vraiment que le public, habitué depuis de longues années aux ombres opaques, que les peintres étendaient sur leurs toiles, se fût fait des yeux d'oiseau de nuit, pour que ce portrait d'Eva Gonzalès lui déplût. Si véritablement le tableau était peint tout en clair, il n'offrait cependant rien de heurté et de violent; l'ensemble était d'une grande tenue. On me permettra de reproduire le jugement qu'il me suggérait dans le moment, que publiait l'

Le parti radical était en possession. Il avait pris l'initiative du renversement d'Espartero. Sorti de ses rangs, le jeune chef du cabinet, M. Gonzalès Bravo, avait vaillamment soutenu la jeune reine contre M. Olozaga, et se montrait intelligent et hardi au service de la royauté relevée. Quand,

Nous sortîmes de la cathédrale éblouis, écrasés, soûls de chefs-d'œuvre et n'en pouvant plus d'admiration, et nous eûmes tout au plus la force de jeter un coup d'œil distrait sur l'arc de Fernand Gonzalès, essai d'architecture classique tenté, au commencement de la renaissance, par Philippe de Bourgogne. On nous fit voir aussi la maison du Cid; quand je dis la maison du Cid, je m'exprime mal, mais la place elle a pu être: c'est un carré de terrain entouré de bornes; il ne reste pas le moindre vestige qui puisse autoriser cette croyance, mais rien aussi ne prouve le contraire, et, dans ce cas, il n'y a aucun inconvénient

Le village est néanmoins une sous-préfecture, et le fonctionnaire, don Agustin Gonzalès, voulut bien nous offrir l'hospitalité. Quatre ou cinq familles de race blanche habitent la bourgade: don Agustin, don Dionysio, le receveur; je ne fis qu'entrevoir les autres. Entre tous, je remarquai un jeune Allemand, grand admirateur des ruines, naturaliste passionné, qui, peut-être dégoûté du monde, est venu fixer sa demeure

En 1810, Miguel Hidalgo proclame l'indépendance du Mexique et abolit l'esclavage, mais l'Espagne ne reconnaît cette indépendance qu'en 1836. En 1822, Iturbide se fait proclamer empereur et est fusillé deux ans après. En 1864, Maximilien d'Autriche, amené par les troupes françaises, lui succède sur le trône. Il est fusillé en 1867, et l'Indien Juarez reprend son siège de président de la république. Aujourd'hui ce siège est occupé par le général Gonzales, et le général Porfirio Diaz est sur les rangs pour la prochaine élection. On le dit honnête et capable, et il est

Le bureau de l'Académie française; Les délégations de l'Institut; La Société des gens de lettres, conduite par M. Emmanuel Gonzalès; Les membres de la Société des auteurs dramatiques; Les représentants des nombreuses Sociétés savantes dont Félicien s'était montré le zélé protecteur; Des artistes, des savants, des journalistes, un imposant cortège d'admirateurs, de disciples et de fidèles.

Les discours se sont succédé, tous marqués au coin de l'émotion juste et vraie. M. Dugué a salué l'auteur dramatique, et M. Gonzalès a fort heureusement caractérisé l'homme de lettres multiple, inépuisable, vraie fontaine de récits, ou plutôt fleuve et fleuve de Jouvence.

"Permettez-moi, reprit-il, de vous rappeler en quelques mots comment certains esprits ardents, embarqués pour des voyages imaginaires, prétendirent avoir pénétré les secrets de notre satellite. Au XVIIe siècle, un certain David Fabricius se vanta d'avoir vu de ses yeux des habitants de la Lune. En 1649, un Français, Jean Baudoin, publia le Voyage fait au monde de la Lune par Dominique Gonzalès, aventurier espagnol. A la même époque, Cyrano de Bergerac fit paraître cette expédition célèbre qui eut tant de succès en France. Plus tard, un autre Français, le nommé Fontenelle, écrivit la Pluralité des Mondes, un chef-d'oeuvre en son temps; mais la science, en marchant, écrase même les chefs-d'oeuvre! Vers 1835, un opuscule traduit du New York American raconta que Sir John Herschell, envoyé au cap de Bonne-Espérance pour y faire des études astronomiques, avait, au moyen d'un télescope perfectionné par un éclairage intérieur, ramené la Lune

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