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Mis à jour: 24 juin 2025


Pour les cymbales que Gluck a placées avec tant de bonheur dans le premier choeur des Scythes, je ne sais qui s'était avisé de les introduire également dans l'air de danse, dénaturant ainsi la couleur et troublant le silence sinistre de cet étrange ballet.

Chevalier Gluck, chevalier Gluck, Lorsque j'écoute Vos airs trop tendres Et charmants, Mon vieux coeur tremble Comme un instrument Sous l'archet de soie, Chevalier Gluck, Et je me crois Au temps des paniers, des culottes courtes Et des perruques.

Karl Hâfitz avait passé six ans sur la méthode du contre-point; il avait étudié Haydn, Gluck, Mozard, Beethoven, Rossini; il jouissait d'une santé florissante et d'une fortune honnête qui lui permettait de suivre sa vocation artistique; en un mot, il possédait tout ce qu'il faut pour composer de grande et belle musique ... excepté la petite chose indispensable: l'inspiration.

Gluck et Beethoven sont

Après les quatre premières représentations, disent les journaux du temps, Gluck, ayant reçu la nouvelle de la mort de sa nièce, qu'il aimait tendrement, partit pour Vienne, ce deuil de famille l'appelait. Aussitôt après son départ, l'Alceste, contre laquelle les habitués de l'Opéra se prononçaient de plus en plus, disparut de l'affiche. Ou voulut dédommager le public en montant

Ce fut, ou je me trompe fort, dans l'Iphigénie en Aulide de Gluck que la grosse caisse se fit entendre pour la première fois

A son retour en Allemagne, il se lia intimement avec Gluck et Haydn; puis il revint

«Je vous vois, je vous entends, et vous espérez que je vais mettre Grétry au-dessus de Gluck, parce que l'impression du moment, fût-elle plus faible, doit effacer celle qui est éloignée. bien! il n'en sera rien, et je vous ferai remarquer que si je suis exagérée, je ne suis point exclusive; et savez-vous pourquoi? c'est que c'est mon âme qui loue, c'est que je hais le dénigrement, et que d'ailleurs je suis assez heureuse pour aimer

Si l'on excepte quelques-unes de ces brillantes sonates d'orchestre, le génie de Rossini se joue avec tant de grâce, il est certain que la plupart des compilations instrumentales, honorées par les Italiens du nom d'ouvertures, sont de grotesques non sens. Mais combien ne devaient-elles pas être plus plaisantes, il y a soixante ans, quand Gluck lui-même, entraîné par l'exemple, ne craignait pas de laisser tomber de sa plume l'incroyable niaiserie intitulée ouverture d'Orphée! Ce ne fut qu'après bien des réflexions et bien des entretiens avec son poète Calsabigi, l'homme du monde le mieux fait pour le comprendre, qu'il reconnut enfin que l'ouverture devait être un morceau important dans un opéra, se rattacher

car si l'on a justement appelé Beethoven un infatigable Titan, Gluck, dans un autre genre, a tout autant de droits

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