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GAUNT. Adieu, ma soeur; il faut que je me rende

GAUNT. Celui qui m'a fait sait combien je te vois malade, malade moi-même

OXFORD. Ainsi Warwick anéantit l'illustre Jean de Gaunt, qui subjugua la plus grande partie de l'Espagne; et après Jean de Gaunt, Henri IV, dont la sagesse fut le miroir des sages; et après ce sage prince, Henri V, dont la valeur conquit toute la France: c'est d'eux que descend en ligne directe notre Henri.

GAUNT. Que le ciel te fasse prospérer dans ta bonne cause! Sois prompt comme l'éclair dans l'attaque, et que tes coups, doublement redoublés, tombent comme un tonnerre étourdissant sur le casque du funeste ennemi qui te combat; que ton jeune sang s'anime; sois vaillant et vis! BOLINGBROKE. Que mon innocence et saint Georges me donnent la victoire! (Il se rassied

BUSHY. Le vieux Jean de Gaunt, seigneur, est dangereusement malade: il a été pris subitement, et il a envoyé un exprès en diligence pour conjurer Votre Majesté d'aller le visiter. RICHARD. est-il? BUSHY. A Ely-House.

GAUNT. Oh! mais on dit que la voix des mourants captive l'attention comme une solennelle harmonie; que lorsque les paroles sont rares, elles ne sont guère jetées en vain, car ils exhalent la vérité ceux qui exhalent leurs paroles dans la douleur, et celui qui ne parlera plus est plus écouté que ceux auxquels la jeunesse et la santé ont appris

RICHARD. Un malade peut-il jouer si subtilement sur son nom? GAUNT. Non, la misère se plaît

GAUNT. Hélas! cette part que j'avais dans le sang de Glocester me sollicite plus fortement que vos cris

RICHARD. Eh bien, vieillard, comment cela va-t-il? comment se trouve le vieux Gaunt?

BOLINGBROKE. Oh! que de nobles yeux ne profanent point une larme pour moi, si mon sang est versé par la lance de Mowbray. Avec la confiance d'un faucon qui fond sur un oiseau, je vais combattre Mowbray. (Au lord maréchal.) Mon cher seigneur, je prends congé de vous; et de vous, lord Aumerle, mon noble cousin; bien que j'aie affaire avec la mort, je ne suis pas malade, mais vigoureux, jeune, respirant gaiement; maintenant, comme aux festins de l'Angleterre, je reviens au mets le plus délicat pour le dernier, afin de rendre la fin meilleure. (A Gaunt.) O toi, auteur terrestre de mon sang, dont la jeune ardeur renaissant en moi me soulève avec une double vigueur pour atteindre jusqu'