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Mis à jour: 17 juillet 2025


Une autre carrière s'ouvrit bientôt pour moi qui me convenait mieux, car elle était plus étrangère au gouvernement. Mes premiers travaux, surtout mes Notes critiques sur l'Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain, de Gibbon, et les Annales de l'éducation, recueil périodique j'avais abordé quelques-unes des grandes questions d'éducation publique et privée, avaient obtenu, de la part des hommes sérieux, quelque attention . Avec une bienveillance toute spontanée, M. de Fontanes, alors grand maître de l'Université, me nomma professeur adjoint

Bonaparte descendit de son estrade, et, au nom de la France, fut embrassé par Berthier. M. de Fontanes, chargé de prononcer l

M. Joubert n'eut d'autres fonctions, sous l'Empire, que dans l'instruction publique, inspecteur, puis conseiller de l'Université par l'amitié de M. de Fontanes.

[Note 156: Fontanes, littérateur, aimait l'anonyme ou même, le pseudonyme. Il publia la première fois sa traduction en vers du passage de Juvénal sur Messaline sous le nom de Thomas, et, pour soutenir le jeu, il commenta le morceau avec une part d'éloges. Il essaya d'abord ses vers sur la Bible en les attribuant

Au retour de Vienne, M. de Fontanes, qui aimait beaucoup M. Molé, lut cet ouvrage

On est curieux de savoir, dans ce rôle important et prolongé de Fontanes au sein de la littérature, soit avant 89, soit depuis 1800, quelle était sa relation précise avec Delille.

Je ne sais pas bien les particularités de la jeunesse de M. de Chateaubriand. Ayant émigré avec sa famille, il connut en Angleterre M. de Fontanes, qui vit ses premiers manuscrits, et le fortifia dans l'intention d'écrire. À son retour en France, il reprit ses relations avec lui, et je crois bien qu'il fut présenté au premier consul par M. de Fontanes. Ayant publié le Génie du christianisme, lors du concordat de 1801, il crut devoir dédier son ouvrage au restaurateur de la religion. Il était peu riche; ses goûts, la nature un peu désordonnée de son caractère, un fonds d'ambition assez fort, quoique vague, une excessive vanité lui inspirèrent le désir et le besoin de se rattacher

Je ne puis m'empêcher, en cherchant dans notre histoire littéraire quelque rôle analogue au sien, de nommer d'abord le cardinal Du Perron. En effet, Du Perron aussi, poète d'une école finissante (de celle de Des Portes), eut le mérite et la générosité d'apprécier le chef naissant d'une école nouvelle, et, le premier, il introduisit Malherbe près de Henri IV. Bayle a appelé Du Perron le procureur-général du Parnasse de son temps, comme qui dirait aujourd'hui le maître des cérémonies de la littérature. Fontanes, dont on a dit quelque chose de pareil, lui ressemblait par son vif amour pour ce qu'on appelait encore tes Lettres, par sa bienveillance active qui le faisait promoteur des jeunes talents. C'est ainsi qu'il distingua avec bonheur et produisit la précocité brillante de M. Villemain. M. Guizot lui-même, qui commençait gravement

I. DERNIÈRE ATTENTE. Impression produite sur l'Empereur par les premières réponses de la Russie. Un mot de lui; sa pensée dominante. Il soupçonne que la Russie prépare un refus et se met lui-même en mesure d'opérer son évolution vers l'Autriche. Premier conseil tenu aux Tuileries. Caractère imposant de cette réunion. But de l'Empereur en provoquant une délibération solennelle. Comment il pose la question. Rapport de Champagny. Doutes qui subsistent sur l'opinion émise par divers membres du conseil: discordance dans les témoignages des contemporains. Passions d'ordre intérieur; la droite et la gauche du conseil. Les révolutionnaires et la Russie. Harangue de Murat. L'alliance conservatrice. Avis prophétique de Cambacérès. Eugène, Talleyrand, le cardinal Fesch, Fontanes. Dans quelle mesure l'Empereur se mêle

M. de Fontanes, en vue des générations survenantes, tendait

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