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Mis à jour: 27 juin 2025
Tatata ... Il ne faut pas pleurer ... Vous allez voir ... ça va s'arranger. Ils ont affolé notre Free, avec toutes leurs histoires; on ne peut plus vivre avec lui! s'écria brusquement la soeur de Fikandouss, dans une crise de larmes.
Il y avait deux places vides aux établis. M. Triphon le remarqua du premier coup d'oeil: celle de Pierken et celle de Fikandouss. Il s'empressa de le glisser
Leo et Pierken se précipitèrent en haut de l'escalier et, tout de suite, dans la pénombre, ils aperçurent Fikandouss pendu
Les femmes, de leur «fosse», le voyaient s'esquiver et savaient ce que cela voulait dire. Elles désapprouvaient les hommes, mais, au fond, elles en étaient plutôt jalouses. «Vous n'en êtes pas?» jetait Fikandouss en passant. Elles secouaient la tête; non, elles n'en étaient pas, mais si, en revenant avec la bouteille plaine, il leur en offrait une larme, elles acceptaient sans se faire prier.
Un peu avant la fin de la journée une ombre noire parut dans l'embrasure de la porte d'entrée et Justin-la-Craque, qui représentait cette ombre, s'y tint tout un temps immobile comme pour une inspection sévère des lieux. Brusquement, il quitta le seuil et s'avança dans la «fosse», se dirigeant tout droit vers Fikandouss et Pierken, qu'il regardait de ses yeux fixes.
Ce fut le troisième jour seulement que Pierken et Fikandouss revinrent
Les socialistes de la ville interviendront, répliqua Pierken. Les ouvriers hésitaient. Qui veut y aller avec moi? demanda Pierken, pour trancher l'affaire. Moi! répondit Fikandouss.
Heureusement, il n'en fut rien. On raconta ensuite que M. le curé, seul au grenier en présence du cadavre, y avait encore surpris un atome de vie et avait pu lui donner l'absolution. Pierken eut un ricanement de mépris devant une aussi flagrante imposture; mais, tout de même, Fikandouss fut enseveli comme un bon chrétien, en terre consacrée.
Mais si, mais si, m'sieu; seulement il est un peu malade; il a un fort mal de tête, répondit Berzeel. Et Fikandouss? Ça, je ne sais pas, m'sieu, dit Berzeel de son air grave et absorbé.
A quatre heures tapant, sans avoir mangé leur tartine, Pierken, Fikandouss et Victorine se tenaient prêts. Cette question d'importance avait été débattue, s'ils ne feraient pas mieux de manger leur tartine d'abord, vu qu'après ils n'auraient peut-être plus le temps. Pierken, toutefois, l'avait déconseillé, disant que le cerveau était plus lucide avant le repas et, d'ailleurs, on pouvait bien s'imposer une légère privation pour la cause. Vérités qu'il tenait des chefs socialistes en ville. Les autres s'inclinèrent. Dans leur vêtement de travail, ils se firent aussi propres que possible, pour ne pas faire figure de mendiants devant ces capitalistes; puis ils se dirigèrent
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