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Mis à jour: 22 octobre 2025
Désormais le romantisme régnera en maître, la Melitza deviendra le style de la fiction, elle fera les délices des amis de la langue biblique. Esprit peu original, Calman Schulman contribuera plus qu'aucun autre écrivain
Cette méthode, je l'ai exposée et justifiée, je crois, dans la fiction qu'on va lire. Il m'aurait plu de la ramasser dans quelque symbole, de l'accentuer dans vingt-cinq feuillets très savants, très obscurs et un peu tristes; mais soucieux uniquement de rendre service aux collégiens que j'aime, je m'en tiens
Prince, répliquai-je, la noblesse, comme on l'entendait autrefois en France, et comme nous l'entendons vous et moi ce me semble aujourd'hui, est devenue une fiction et l'a toujours été peut-être. Vous me rappelez le mot de M. de Lauraguais, qui disait, en revenant d'une assemblée de maréchaux de France: «Nous étions douze ducs et pairs; mais il n'y avait que moi de gentilhomme.»
L'an 1810, un cas d'inhumation d'une personne vivante arriva en France, accompagné de circonstances qui prouvent bien que la vérité est souvent plus étrange que la fiction. L'héroïne de l'histoire était une demoiselle Victorine Lafourcade, jeune fille d'illustre naissance, riche, et d'une grande beauté. Parmi ses nombreux prétendants se trouvait Julien Bossuet, un pauvre littérateur ou journaliste de Paris. Ses talents et son amabilité l'avaient recommandé
Malgré toutes les intrigues qui s'entre-croisent, tout est lié dans la fiction, tout s'y développe de la manière la plus heureuse, et le dénoûment a quelque chose de solennel par la reconnaissance qui a lieu devant un tribunal auquel préside le prince.
Cependant je pris la plume avec mes rivaux, et j'écrivis en toute humilité, mais avec tout l'effort de style dont j'étais capable, ma première composition. Au lieu de la fiction toujours froide, la mémoire des lieux aimés, toujours chaude, fut ma muse, comme nous disions alors; elle m'inspira.
Rien n'y faisait. Le peuple s'acharnait dans cette surprenante fiction que tout le mal venait d'ailleurs, que le roi ignorait les choses qu'il signait tous les jours. Quoi qu'il pût faire, la France persistait en ce songe, cette vaine légende, d'un certain Louis XVI dans le genre du bon roi Robert ou de Louis le débonnaire. La France était très-royaliste. Et cela sans exception.
Préface de la première édition Le lecteur qui commence la lecture de ces volumes dans l'espoir d'y trouver le tableau romanesque et imaginaire de ce qui n'a jamais existé, l'abandonnera sans doute lorsqu'il se verra trompé dans son attente. L'ouvrage n'est autre chose que ce qu'annonce son titre, un récit, une relation. Cependant, comme il renferme des détails qui pourraient n'être pas compris de tous les lecteurs, et surtout des lectrices qu'il pourrait trouver, en passant pour une fiction, il est de l'intérêt de l'auteur d'éclaircir ce que les allusions historiques pourraient présenter d'obscur. Et c'est pour lui un devoir d'autant plus rigoureux, qu'il a souvent fait la triste expérience que, lors même que le public ignorerait complètement les faits qui vont lui être racontés, dès l'instant que vous les soumettez
Premièrement, vous vous ressouviendrez que ce n'est pas tout de bon et en vérité, mais seulement par une fiction d'esprit, que vous avez rejeté, autant qu'il vous a été possible, tous les fantômes des corps, pour conclure que vous êtes seulement une chose qui pense, de peur qu'après cela vous ne croyiez peut-être que l'on puisse conclure qu'en effet et sans fiction vous n'êtes rien autre chose qu'un esprit ou une chose qui pense; et c'est tout ce que nous avons trouvé digne d'observation touchant vos deux premières Méditations, dans lesquelles vous faites voir clairement qu'au moins il est certain que vous qui pensez êtes quelque chose. Mais arrêtons-nous un peu ici. Jusque l
Bien que ce livre soit un roman, il n'y faut pas chercher une rapide succession d'événements extraordinaires, de combinaisons artificiellement dramatiques. C'est dans la peinture de la vie réelle, dans l'étude profonde des caractères, dans l'essor simple et franc des sentiments vrais, que la fiction a puisé ses plus grandes beautés.
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