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Mis à jour: 22 octobre 2025
Ils se quittèrent sur cette parole, et Gilbert partit le lendemain. Dans le récit qu'on vient de lire, l'auteur a dit: «Ce n'est pas un roman que je fais, madame, et vous vous en apercevez bien.» On a dû s'apercevoir, en effet, que cette histoire n'a pas le caractère ordinaire d'une fiction. Emmeline n'est point un personnage imaginaire, et Gilbert n'est autre que l'auteur lui-même.
Ce sujet, expliqué par d'autres monumens antiques, est la lutte de Pan et de Cupidon. Le vieux Silène, maître et juge du combat, tient la palme destinée au vainqueur. En considérant ces deux figures comme les Génies de l'Amour et de la Nature, on trouve le sens de cette fiction ingénieuse. Sans doute l'Amour sera vainqueur et ne fera point mentir son ancienne devise, omnia vincit Amor; déj
le jeune homme sent sa jeunesse faire irruption subite dans tout son être. L'intervention des influences de la nature peut être discutée comme moyen dramatique. On trouvera peut-être que Philippe déchire bien vite sa robe d'avocat au premier buisson d'aubépine. Mais ce rajeunissement de l'homme par la jeunesse d'une nature en floraison est une idée poétique, une fiction, si on veut, mais une fiction pleine de charme et qui amène une scène d'amour, une vraie scène d'amour comme on n'en avait pas entendu au théâtre depuis le dialogue de Valentin avec Cécile, dans Il ne faut jurer de rien! Cette scène seule suffirait pour justifier le titre de la Jeunesse que M. Augier a donné
Alors commence un nouveau jeu: le jeu, la fiction, le drame de la pluie. L'enfant ouvre une ombrelle et marche effarée par la chambre; elle se livre
Inconséquents avec la fiction qu'ils avaient adoptée et en vertu de laquelle ils auraient dû mais ils n'y songèrent pas avoir l'air de ne pas comprendre ce qu'il voulait dire, ils proférèrent une phrase qui est de tradition en ces circonstances: «Voil
Négligé par l'histoire, le XVIIIe siècle est devenu la proie du roman et du théâtre, qui l'ont peint avec des couleurs de vaudeville, et ont fini par en faire comme le siècle légendaire de l'opéra-comique. C'est contre ces mépris de l'histoire, contre ces préjugés de la fiction et de la convention, que nous entreprenons l'œuvre, dont ce volume est le commencement.
Or, ces acquittements, quoique purement de fiction légale, seraient exploités comme un encouragement national par le parti légitimiste; la voix du juré, pour le coup, serait proclamée la voix du pays.
Et pourtant, dans l'épirrhème qui suit la strophe, et dans l'antépirrhème, qui suit l'antistrophe, le poëte reprend sa fiction, pour la quitter de nouveau et la reprendre encore.
Or, s'il est contestable que le roman soit, eu égard au grossissement de ses descriptions, le miroir fidèle d'une époque, il n'est pas douteux, en revanche, qu'il tende, par l'agrément du style et l'intérêt de la fiction,
Nos plus grands romanciers, tels que Fielding, Scott et Thackeray se préoccupent fort peu de la philosophie de leur siècle. Mais, venant d'un critique français, cette assertion semble déceler une étrange méconnaissance d'un des éléments les plus importants de la fiction française.
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