Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 13 juin 2025
Que de phases différentes depuis le moment où, selon les vers de Fergusson, Le matin avec de jolis sourires pourprés, Embrasse le coq aérien de St.-Giles .
Après le duc de Mestosa, ce fut le prince Seratoff qui vint lui faire visite; puis, après le prince, ce fut lord Fergusson. Tous entrèrent avec l'air triomphant qu'avait eu le duc de Mestosa. Tous sortirent, la tête basse, comme le duc était sorti. Car
L'intérêt des auditeurs de Fergusson fut excité surtout quand il leur fit connaître en détail les préparatifs de son voyage; ils voulurent vérifier ses calculs; ils discutèrent, et le docteur entra franchement dans la discussion. En général, on s'étonnait de la quantité relativement restreinte de vivres qu'il emportait avec lui. Un jour, l'un des officiers interrogea le docteur
Vers dix heures l’atmosphère s'éclaircit. Il se fit une trouée dans les nuages, la terre reparut; le Victoria s'en approchait insensiblement. Le docteur Fergusson cherchait un courant qui le portât plus au nord est, et il le rencontra
A charge de revanche, Monsieur Dick, en préférant toutefois que l'occasion ne se présente pas de me rendre la pareille! C'est une pauvre nature que la notre! reprit Fergusson. Se laisser abattre pour si peu! Pour si peu d'eau, voulez-vous dire, mon maître! Il faut que cet élément soit bien nécessaire
« A mon tour, dit Fergusson. Et il inscrivit cent trente-cinq livres pour son propre compte. « A nous trois, dit-il, nous ne pesons pas plus de quatre cents livres. Mais, mon maître, reprit Joe, si cela était nécessaire pour votre expédition, je pourrais bien me faire maigrir d'une vingtaine de livres en ne mangeant pas.
Pendant ces divers voyages, Samuel Fergusson fut le correspondant le plus actif et le plus intéressant du Daily Telegraph, ce journal
Les traits caractéristiques du génie de Ramsay sont le naturel, la grâce, et l'aisance. Il a donné de jolis tableaux, d'une observation facile et un peu superficielle, d'un coloris léger et clair. L'ensemble de son oeuvre a quelque chose d'aimable, de riant. Ni la passion douloureuse, ni le drame intime n'y apparaissent; on n'y voit jamais les lueurs sombres ni les éclairs tragiques de Burns, ni la teinte mélancolique de Fergusson. Tout y respire l'optimisme d'un homme qui est satisfait de la vie, parce qu'elle lui a donné ce qu'il souhaitait, et aussi parce qu'il n'a point souhaité plus qu'elle ne peut donner. On y rencontre partout le contentement. Aussi Ramsay jette-t-il sur les hommes un regard qui n'eut jamais ni profondeur ni amertume, et quand Hogarth lui dédia ses illustrations de l'Hudibras, il les offrait
Un jour, on s'entretenait de la direction des ballons, et Fergusson fut sollicité de donner son avis
Il rapporta de son excursion une sorte de nèfles, que des singes mangeaient avidement. Le docteur reconnut le fruit du « mbenbu,» arbre très abondant sur la partie occidentale de Jihoue-la-Mkoa. Fergusson attendait Joe avec une certaine impatience, car un séjour même rapide sur cette terre inhospitalière lui inspirait toujours des craintes.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche