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Mis à jour: 18 juin 2025
Laissons la discussion et parlons de Fanchette, de la vraie Fanchette; rien ne nous empêche, que je sache, d'ouvrir une petite souscription pour elle. Cela lui ferait du bien, et cela augmenterait le scandale, chose qui n'est pas mauvaise non plus. Mon idée était de faire vendre une partie des exemplaires de son histoire
Fanchette répondait: «Soyez tranquille, maman, je ne veux rien prendre, allez! j'aimerais mieux mourir de faim; la faim fait moins de mal que l'idée d'avoir fait une faute. J'ai été trop malheureuse pendant toute la journée où j'avais cet oeuf dans ma poche, pour l'oublier jamais.» L'ENFANT AVIS
Aux yeux de Cressonneau, cette lettre devait précisément expliquer pourquoi la maîtresse de Rochecotte ne s'appelait pas Jeanne, mais bien Fanchette! On en trouverait des traces, d'ailleurs, de cette Fanchette,
L'affaire Fanchette périclite déplorablement. Mon oncle du Havre est mort. J'ai fait un héritage. Est-ce que nous ramons toujours sur le fleuve de Tendre avec ma petite cousine Péry? J'en ai peur pour toi. Mon autre cousine, l'incomparable Olympe, m'a dit que ta maman avait tout plein de peine
Est-ce la perfection même de ce travail diabolique que je suppose accompli par un scélérat parvenu au summum de la science criminelle? J'ai été chez Nadar. J'ai acquis la certitude que les épreuves photographiques ont été livrées le jour même du crime. Il est donc naturel que Fanchette les eût sur elle au restaurant. Qu'espérais-je en prenant ce renseignement? En vérité, je ne saurais le dire.
On n'épouse pas Fanchette! murmurai-je involontairement, par souvenir de la dernière lettre du pauvre Rochecotte. Possible, me répondit M. Louaisot, mais alors Fanchette tue. Ce mot me mit tout debout sur mes pieds. M. Louaisot, me voyant ainsi levé, me dit avec un geste courtois: Ne vous dérangez donc pas, cher Monsieur. Mais je ne l'entendais pas. Je restais l
Comment est-il assassiné? Fanchette avait perdu sa mère. Une main secourable la place dans une maison pieuse. Va-t-elle dire
Le lecteur peut se souvenir d'une double rencontre que nous fîmes, M. Louaisot et moi, dans le jardin du Palais-Royal: la petite Jeanne Péry d'un côté, conduite par sa mère, et de l'autre la petite Fanchette, plus âgée d'un an, émancipée par l'abandon et la misère, et faisant toute seule son métier de revendeuse de plaisirs.
Il n'y eut pas une seule objection. Tout le monde se leva en souriant, et le colonel, qui sortait le dernier, appuyé au bras de Francesca Corona, dit: Savez-vous que ma petite Fanchette a raison d'être jalouse? Nous l'aimons trop, cette enfant-l
Il vit ce qu'avait vu François Riant: au second plan, Fanchette, gracieusement renversée sur le dos de son fauteuil; au premier, M. le comte Albert de Rochecotte la tête penchée en avant et plongé dans un profond sommeil. Ce qu'il ne put voir, ce fut l'oeil de François, qui, intrigué au plus haut degré, regardait tant qu'il pouvait par le trou de la serrure.
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