Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 28 juin 2025


Si, dans un mois, la patrie est encore en danger, si l'état des choses n'est pas entièrement changé, il ne faudra pas dire alors la nation est en danger, il faudra dire la nation est perdue. J'ai toujours été l'apôtre de la Constitution, le défenseur des lois; mais la première des lois est celle sur laquelle repose la Constitution, l'égalité, la liberté. Il faut donc la Constitution décrétée; mais il la faut toute entière, religieusement observée pour le salut du peuple, sans quoi le mot Constitution ne devient plus qu'un mot de ralliement pour les factieux qui voudraient s'en emparer pour combattre la liberté. C'est dans ces principes que j'ai rédigé une adresse aux fédérés, dont je fais faire lecture

« Tels ne sont pas les discours publics, et, entre nous, les triomphes de la république ne sont pas les moins beaux lauriers; Napoléon peut préférer le trône, mais il n'aura jamais droit de maudire la révolution. Puis n'a-t-il pas fait ouvrir des clubs? et cette revue des fédérés, annoncée pour demain, n'est-elle point une occasion, un pas rétrograde?

La 14 arrive enfin: tous les fédérés députés des provinces et de l'armée, rangés sous leurs chefs et leurs bannières, partent de la place de la Bastille et se rendent aux Tuileries. Les députés du Bénar, en passant dans la rue de la Ferronnerie, avait été assassiné Henri IV, lui rendent un hommage, qui, dans cet instant d'émotion, se manifeste par des larmes. Les fédérés, arrivés au jardin des Tuileries, reçoivent dans leurs rangs la municipalité et l'assemblée. Un bataillon de jeunes enfans, armés comme leurs pères, devançait l'assemblée: un groupe de vieillards la suivait, et rappelait ainsi les antiques souvenirs de Sparte. Le cortège s'avance au milieu des cris et des applaudissemens du peuple. Les quais étaient couverts de spectateurs, les maisons en étaient chargées. Un pont jeté en quelques jours sur la Seine, conduisait, par un chemin jonché de fleurs, d'une rive

Le terme de toutes les incertitudes approchait; le même jour on se réunissait en même temps dans le comité insurrectionnel des fédérés, et chez les amis du roi, qui préparaient sa fuite. Le comité remit l'insurrection au jour l'on discuterait la déchéance, c'est-

CHAPITRE SIXIÈME. Orléans au Ve siècle. Les habitants mettent leur ville en état de défense. L'évêque Agnan va trouver dans Arles le patrice Aëtius. Aëtius promet de secourir Orléans. Inutilité de ses efforts pour entraîner les Visigoths. Les Gaulois et les Barbares fédérés et Lètes accourent sous ses drapeaux. Force de l'armée d'Aëtius. Caractère d'Avitus; sa liaison avec les Visigoths; son influence sur Théodoric; il le décide

M. Carnot fut d'avis qu'il fallait déclarer la patrie en danger, appeler aux armes les fédérés et toutes les gardes nationales, mettre Paris en état de siége, le défendre, se retirer

«J'étais aux Jacobins, auprès des fédérés: ce sont eux qui m'ont pris la main et m'ont parlé les premiers. Leurs officiers ont été

«Ainsi finit le meilleur jour de notre vieCe mot, que les fédérés d'un village écrivent le soir de cette grande fête nationale

Soldats fédérés, s'il est des hommes dans les hautes classes de la société, qui aient déshonoré le nom français, l'amour de la patrie et le sentiment d'honneur national se sont conservés tout entiers dans le peuple des villes, les habitans des campagnes et les soldats de l'armée. Je suis content de vous voir. J'ai confiance en vous: Vive la Nation! Paris, 1er juin 1815.

Il pouvait être environ trois heures et demie ou quatre heures du soir. Près du troisième arbre, au bord du trottoir, sur le terre-plein qui règne au milieu de la chaussée, je les vois encore; ils étaient debout: un sergent de fédérés, petit, physionomie chafouine; un homme quelconque de sa compagnie, au port d'armes, et de profil; enfin, répondant au sergent et lui faisant face, un grand vieillard

Mot du Jour

n'usait

D'autres à la Recherche