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Mis à jour: 19 juin 2025


D'une manière générale le cycliste est une dame. Une fée voyageant sur une légère nuée estivale ne peut pas paraître plus

Ainsi, la nuit passait, et le peu de la journée qui suivait le sommeil noir il tombait au retour, vers six heures du matin. Mais l'heure mauvaise était neuf heures, quand, le dîner fini, le cigare fumé, les camarades s'en allaient au spectacle, au foyer de l'Opéra, ou simplement car ces soirs étaient d'une tiédeur estivale se faisaient voiturer jusqu'au Bois dans une victoria du cercle. Lui ne voulait pas de spectacle, pas de café-concert, pas de Bois, rien qui lui rappelât une vie mondaine, aucun endroit l'on rencontrât des gens qui pourraient lui parler de Maud et de Chantel. Et les lentes minutes coulaient une

D'après une publication récente de M. Fabre, les Halictes auraient deux générations par an; la première, estivale, se montrant en juillet, et provenant de la ponte effectuée en mai par les femelles ayant hiverné; la seconde, automnale, dérivant des femelles nées en juillet. La première génération, d'après M. Fabre, serait exclusivement composée de femelles, et par suite la seconde, qui comprend les deux sexes, ne résulterait de la première que par voie de parthénogénèse. Ce savant n'a vu aucun mâle parmi les femelles de juillet, chez deux espèces qu'il a eu toute facilité d'observer, jour par jour, dit-il, les Halictus scabiosæ et cylindricus. Pour être plus exact, sur 250 Halictes de la seconde espèce, exhumés de leurs galeries, les uns déj

Ce fut un éblouissement, dans le cabinet particulier Malcousinat avait fait servir, de telles agapes exigeant un réel recueillement, quand elle entra dans sa jolie toilette estivale de provinciale aisée, sous un rayonnement de soleil couchant qui piquait des flèches de rubis dans les carreaux. Et c'était un parfum exquis de santé et de jeunesse, comme l'arôme d'une fleur vivante, qui enveloppait ses épaules, faisant courir, sous le tulle, un frisson d'ivoire rose. A cette triomphale entrée, je sentis comme un jardin de madrigaux qui s'épanouissait subitement dans mon esprit. Non! je n'ai jamais eu la fâcheuse coutume de déshonorer mes amis, dans leur foyer, mais il me semble que je l'aurais volontiers prise, ce jour-l

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